Tadam, on est mariés (et c’est trop génial) !
Ce fut une journée, que dis-je, deux jours, absolument fabuleux, avec pleins d’amour, de bonne humeur, de soleil et de surprises. On est super contents, plutôt fiers d’avoir réussi à organiser ça avec nos petits bras (check !) et immensément reconnaissants à tous ceux qui nous ont aidé, frères et sœurs, cousins et cousines, parents et grand-parents, amis.
Ce petit message car, en attendant la mise en place de la super galerie en ligne qui permettra de diffuser toutes les photos, je voulais vous montrer celles du photographe qu’on a reçu ce weekend !!
A commencer par la cérémonie 🙂
Les moments-qu’on-va-s’en-souvenir-longtemps :
- La semelle d’Olivier qui lâche juste avant la célébration : une animation parfaite pour faire patienter les invités (en attendant la mariée). Merci à Pierre-François pour le prêt de ses chaussures, qui permirent au marié d’éviter d’avoir trop les pieds sur terre au moment de dire « oui » 😉
- La petite Anne qui embarque le coussin avec les alliances comme si c’était sa peluche, l’alliance d’Olivier qui tombe, Olivier qui siffle « mon précieux ! », Agnès qui sauve la situation en nous apportant Anne ET le coussin dans ses bras devant l’autel.
- Notre super organiste, Pierre, qui nous joue le thème de « La Guerre des Étoiles » en musique de sortie. Supriiiise !
Et puis :
- Le fleurissement de l’église, entièrement réalisé par les petites mains de la famille d’Olivier (avec des fleurs et branchages du jardin de la maman d’Olivier)
- la voix magnifique de Caroline, le talent des musicien-ne-s, les gens qui ont (quand-même un peu) chanté,
- les lecteurs, Odile, Charles, Claire, Michel,
- notre prière des époux, rédigée l’avant-veille, de nuit, dans le jardin des Mougères,
- nos remerciements, rédigés par échange de textos, la veille au soir,
- la prière universelle rédigée par le papa d’Olivier et Claire,
- nos livrets de cérémonie qu’on adore avec, en quatrième de couverture, une citation de Jean-Paul II (« N’ayez pas peur ») et de Yoda (« Fear is the path to the dark side »),
- remonter l’allée et en 10 secondes passer de « oh trop cool ce moment de complicité avec mon Papa » à « oh, Olivier là-bas au bout » et éclater en sanglots tout en rigolant,
- Nos « Oui » tonitruants (il paraît qu’on est doués en « Oui » !).
Mais donc, place aux photos de notre photographe, Frédéric Leschallier !














































La Bande est composée du tambour-major (qui choisit la musique et détermine le parcours), de la clique (les musiciens) et des carnavaleux (tous les gens déguisés). C’était très impressionnant : à la suite de la clique (qu’on voit de loin car elle est entourée de hautes ombrelles), tout le monde chante – tout le monde connaît les chansons, sauf les touristes comme nous. Ça se bouscule un peu, en particulier pendant les « chahuts » où les musiciens jouent, mais rien de méchant.

Sans connaître les usages, on a repéré les coutumes rigolotes, comme le jeu entre les carnavaleux de la rue et ceux qui regardent le défilé à leur balcon : « Au balcon, les cocus » est scandé très régulièrement. Il y a aussi les groupes sympas qui jouent de la trompette depuis leur fenêtre, ce à quoi la rue répond « Olé ! ».
Au milieu de l’après-midi, tout le monde se retrouve place de l’Hôtel de ville, d’où le Maire et le Conseil municipal balancent des coucous et 450 kg de harengs sur la foule. Graaaande tradition qui date non pas du XVIIème siècle (on aurait cru, hein ? Avec la pêche et tout…), mais de l’après-guerre : pour fêter la rénovation de l’hôtel de ville, détruit en 1945, la municipalité décida de de lancer des harengs car c’était la saison (j’aurais vraiment aimé être une petite souris à la réunion où ils ont décidé ça).






















