En vrac et dans le désordre #4

Petite balade par temps irlandais

Avec arrêt ludique dans une très chouette flaque d’eau…

Selfie du matin

P’tit oeuf sur la terrasse

22h30. Un Basile insomniaque goûte au fenouil cru…

Les lunettes de Papa, toujours un succès

Les « silhouettes » réalisées à l’atelier des nounous !

Deux enfants sur le pot… On y arrive, tout doux…

Un bon anniversaire chez Ladurée !

Bébé du matin, bébé câlin !

On a testé : l’arrêt de bus de l’école 😉

Bisous

Les mots de Basile

Ayaaa !

Tadam, Basile commence lui aussi à « dire » ses premiers mots. Bon, il faut être vraiment attentif, et pas trop sourcilleux sur la prononciation, mais les voici en exclusivité, dans l’ordre chronologique d’apparition 🙂

Ayaaaa ! : allo (avec le téléphone à l’oreille, cf photo)

Na / né : non

Mama : maman

Tata : papa

Ada : Albert

Kiki : son copain de nounou Kylen, surnommé Kiki, donc.

Il essaie aussi de répéter après nous les mots, quand on regarde ensemble un imagier par exemple… On sent qu’il s’applique, mais c’est pas encore ça ^^

Bon en dehors de ça, Basile se fait aisément comprendre par une gestuelle assez sûre : il montre du doigt ce qu’il veut et repousse des deux mains ce qu’il ne veut pas. S’il veut aller dehors, il va chercher ses chaussures et nous les tend. S’il veut qu’on lui lise un livre, il va le chercher, nous grimpe dessus et nous donne le livre. Quand il veut faire un câlin, il vient vers nous et tend les bras (si on est debout) ou nous met des coups de tête (si on est allongés ou assis).

Rien de très exceptionnel finalement, mais je trouve toujours épatant la manière dont un petit être non doué de parole arrive aussi naturellement à se faire comprendre… Le tout en poussant des petites interjections interrogatives ou exclamatives. Nous on lui répond en parlant, tels Luke Skywalker à R2D2, ou Han Solo à Chewbacca… Basile promet en tout cas d’être au moins aussi pipelette qu’Albert (qu’on comparerait plutôt à C-3PO, présentement…) !

Bisouuus !

Au bois dormant

imageMercredi matin, 8h45. Tout le monde dort 🙂

Albert a fait un cauchemar cette nuit (des grenouilles), et au bout d’une heure de : « Encore une chanson… Y a pas de grenouille ?… Y a pas de hibou ?… J’ai de la fièvre (36,5°), j’ai mal aux dents / au ventre / à la tête / au cou (alouette) », j’ai cédé et l’ai ramené dans notre lit, où il a mis encore très longtemps à se rendormir (au petit matin, je dirais).

Olivier est sorti du lit avant le réveil pour préserver notre sommeil à Albert et moi, et comme toujours il a fait les biberons (cœur). Il est parti au boulot en mauvais état, le pauvre… Moi j’ai petit déjeuné, pris une douche et là Albert dort encore (ainsi que Basile, youhou). Je réchauffe les biberons.

Et dans la catégorie « dodo », ces petites photos ci-dessous datent de ce weekend. Olivier et Albert étaient sortis faire des courses et Basile à refusé de faire sa sieste du matin… Il a beaucoup joué dehors avec les petits cailloux, mais à midi, juste avant de lui faire prendre son repas, je l’ai retrouvé ainsi dans l’entrée 😉

Une fois recouché, il a dormi jusqu’à l’heure du goûter (et il a bien goûté) !

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Bisous et bon matin 😉

Et des souliers lilas la la

Albert et Basile ont leurs petits moments mignons à eux (quand ils ne se battent pas pour le même jouet, le même verre d’eau ou la même maman, s’entend), notamment ce rituel où Albert chante à Basile les chansons d’un de ses livres préférés (qu’il appelle « La Galette »), assis tous les deux dans le fauteuil de leur chambre.

Tout à l’heure, avec Albert on cherchait Basile qui ne faisait plus de bruit à l’étage (c’est toujours louche, ça), et on l’a trouvé calé dans le-dit fauteuil (justement déhoussé pour la journée, c’est pas joli, mais bon), le fameux livre dans ses mains. Ultra mignon. Albert a bien entendu rejoint son frère pour chanter, et j’ai bondi en bas attraper l’appareil et immortaliser l’instant (mais en vrai ça dure toujours un bon moment).

Bisous !

Les mots d’Albert #5

Encore une petite série, qui ne représente même pas le dixième de toutes les sorties d’Albert, mais on ne prend jamais le temps de noter, et la mémoire flanche…!

Anatomie

Dans mon ventre, il y a mon petit cœur rouge.

Météorologie

Oh, on a entendu l’éclair.

À Sainte Rita, patronne des causes désespérées

– T’as fait pipi ?

– Non !

– T’as fait caca ?

– Non !

– T’as fait quoi, alors ?

– Des carabistouilles !

La glace (et les dents sensibles)

Ah non c’est froid, il faut réchauffer la glace dans le micro-ondes.

Le sens du style

Elle sont belles mes petites bottes. Elles sont mignonnes.

Je veux pas les chaussures, je veux pas les sandales, je veux mes petites bottes.

À l’école, on va mettre une salopette.

Les cauchemars (la scène se déroule de nuit, avec Albert en pleurs dans son lit)

Nuit 1 : Il y a de l’herbe !

Nuit 2 : Il y a un hibou !

Nuit 3 : Il y a une araignée !

Mémoire auditive (oui je m’extasie, voilà.)

Albert chante tout seul. Les crocodiles, Petit escargot, Au clair de la Lune (« Ma chambre elle est morte, je n’ai plus de feu, ouvre-moi ta porte pour la dire Adieu »), Il court le furet, Vent frais vent du matin, Alouette (« Aaaaaah »), Coucou hibou, À la volette, et ce n’est qu’un faible échantillon : il connaît tout par cœur (et il chante juste, ouf)… On devrait plutôt lui chanter les tables de multiplications avant de dormir, en fait. Ou les verbes irréguliers en anglais, tiens, drink drank drunk, hop.

Pour les livres, idem. Albert adore qu’on lui relise toujours les mêmes livres mais depuis quelques temps il ne s’embête plus avec nous (Basile commence à avoir ses propres exigences en matière de lecture du soir, pas forcément au goût d’Albert), il les « lit » tout seul, à voix haute. Quand il ne de souvient plus du texte précis, il raconte de mémoire et c’est très inventif (espèce de pipelette).

Le sens de l’image

Les pâtes préférées d’Albert ? Les « pâtes chapeaux » (c’est de lui) ! Mais Olivier est parvenu à lui vendre également les « pâtes tuyaux« , héhé.

Voili voilà pour cette tournée, on va essayer de les noter, désormais, parce qu’on passe à côté de vraies perles !

Bisouuus !

Bébés à lunettes

Il n’y a pas énormément à ajouter à ces photos 🙂 Albert est toujours aussi fan des lunettes kitsch de son papa, et il a absolument tenu à ce qu’on mette des lunettes à Basile aussi…

Et sinon, une autre photo prise ce matin :

Ceci est la meilleure nouvelle du printemps. Je m’explique : Depuis qu’on a refait le jardin, les pucerons noirs ont pris possession des lieux. Ils ont notamment envahi notre joli « Boule de neige » (je ne connais pas le vrai nom, c’est un arbuste qui fait de jolies fleurs blanches un peu comme du lilas, mais en forme de boules et qui sentent rien), qui du coup a fait très peu de fleurs cette année, à ma grande tristesse.

Il paraît que c’est normal, notre jardin est tout neuf et il faut un peu de temps pour que l’équilibre se fasse, c’est à dire que la grande chaîne de la vie se mette en place et, donc, en l’occurrence, que les prédateurs des pucerons rappliquent.

Or, qui mange du bon puceron bien dodu, engraissé à la sève de Boule de neige ? Les coccinelles, pardi. Ça fait donc des semaines que je guette les coccinelles, en vain.

Ce matin, en cherchant un « escargot jaune tout joli » pour Albert, j’ai découvert avec désolation que les pucerons avaient à présent jeté leur dévolu sur notre magnifique cerisier, qui avait déjà bien souffert du gel – si on a quatre cerises à récolter ce sera la fête, on fera un mini-clafouti.

Oui mais là, au milieu du futur champ de ruines qu’est mon cerisier (ça détruit les feuilles ces petites saloperies de pucerons), j’ai vu deux coccinelles en train de faire des bébés 🙂 Moi aussi à leur place, tel le pionnier ayant enfin trouvé sa terre promise, je me serais mise à faire des bébés à cet endroit précis : la chasse est ouverte. Open pucerons, c’est ma tournée.

Bref, à notre jardin bientôt équilibré, et à la longue lignée de coccinelles qui va s’y établir  (asiatiques, certes, mais on fait avec ce qu’on a ma bonne dame) !

Bisous

Salut coucou !

Un petit selfie pour la route… À mon Basilou qui a courageusement pleuré de bout en bout chez le docteur ce matin (tout ça pour un diagnostic de « rhinite » et de pousse de dents… Ça fait quatre mois qu’elle pousse, sa cinquième dent : on n’y croit plus, docteur…) !

Bisous 🙂

Hier soir

Hier soir, on est rentrés pas très tôt, avec les doudous. La journée de travail avait été bien remplie et j’ai quitté tard le boulot. Arrivés chez Samia, j’ai trouvé les enfants qui jouaient en bas (sous bonne garde de Samia bien sûr !) autour du toboggan, avec les autres enfants de la résidence, comme toujours quand il fait beau. Du coup je ne suis pas partie tout de suite, ils jouaient bien, on a papoté – Albert a eu de la fièvre tout le week-end et même s’il va mieux, le debrief du soir prend un peu plus longtemps dans ces cas là !

On a finalement pris la route, et on est arrivés à la maison vers 19h15. J’ai reçu en route un message d’Olivier qui indiquait que son train lambinait… Comme à chaque « grosse chaleur » ! Albert et Basile ont joué dans le jardin tandis que j’arrosais les plantations : notre petit nouveau poirier palissé, les groseilliers, les plantes aromatiques, les semis de concombre et de potimarron.

Albert ayant réclamé un « p’tit œuf », et parce que je sais que c’est THE repas qui passe tout seul, j’ai lancé la cuisson de deux œufs à la coque et fait griller puis beurré une tranche de pain de mie. Hop, 5 minutes plus tard, deux enfants mouillés (ils ont joué avec le tuyau d’eau que j’avais laissé couler en filet au pied du poirier) MAIS aux mains à peu près propres étaient installés à table pour le dîner.

Vers la fin du dîner des enfants, Olivier a passé une tête : les meubles de jardin avaient (enfin) été livrés (chez Mounette), il empruntait donc le pick up de Jean pour aller les récupérer ! On a terminé de dîner, et quand Olivier est revenu, ayant déposé la livraison en bas du jardin (pfiou, c’est lourd), Albert est allé avec lui rendre le pick up (quelques dizaines de mètres de bonheur pendant lesquels Albert « conduit » le camion, calé sur les genoux d’Olivier).

Pendant ce temps, j’ai déballé deux chaises et Basile, après avoir tenté d’escalader l’une d’elles, s’est mis à jeter les cailloux dans les cartons (c’est toujours mieux que dans la pelouse, dans l’escalier ou dans le persil).

Au retour du père et du fils, on a monté la table, aidés d’Albert of course. Moi je tenais Basile qui essayait de monter dessus, parmi d’autres activités dangereuses.

Une fois la table installée, on a contemplé notre œuvre, puis on a entamé la partie difficile de la soirée (depuis quelques jours) : le couchage. Déshabillage, pyjamas, couches, lecture dans notre chambre, installation d’Albert dans son lit et de Basile dans sa turbulette, on allume « les étoiles » (veilleuse qui projette des étoiles au plafond), chahutages et câlins d’Albert et Basile sur le lit du premier, au revoir à Papa qui va étendre la lessive, puis chansons avec Basile dans les bras et en tenant la main d’Albert, puis Bonne-nuit-les-doudous-on-se-retrouve-demain-je-vous-aime-fort ! En ce moment il faut remonter plusieurs fois après ce premier couchage. Hier je me suis fâchée, fort, ce qui a réduit à deux le nombre de rappels. C’est toujours ça de pris.

Puis avec Olivier on a dîné, youhou ! D’habitude on dîne avec les enfants mais le retard de train et le montage de la table ont un peu tout chamboulé, hier soir. Malheureusement, il ne faisait plus suffisamment jour pour dîner dehors… Pas grave, on aura pleins d’autres occasions 🙂

En vrac et dans le désordre #3

Première coupe de cheveux pour Basile (il a tenu immobile pendant à peu près 10 secondes)

Premières tentatives pour Basile sur le pot (on sait jamais, ça va peut-être inspirer son frère…)

Mais mais mais, déjààà ?

Petite séance trampoline avec Maxence chez Mounette

Le rodéo des cousins !

Vus : deux chenapans qui sont seuls à l’étage depuis 2 minutes…

Avec Olivier on a fait le No Finish Line sur le Champs de Mars, mercredi dernier 😀 (je vous épargne le selfie à contre-jour)

Habiller Basile : nul ne le sait, mais c’était le 13ème travail d’Hercule.

Et re-voilà le trampoline (vraiment en vrac et dans le désordre, ces photos)

Olivier en lévitation !

Mais combien de trésors recèle ce téléphone, didonc !