Le dessert au chocolat

Juste Ciel mais que voilà, un vampire ? Non non, c’est juste Basile qui a mangé du « dessert au chocolat » (de la danette, quoi).

Albert n’était pas en reste. Les tâches de chocolat étaient moins suggestives, mais il a quand-même réussi à s’en mettre entre les deux yeux…

(Il est très beau cet enfant, n’est-ce pas ?)

Sinon, en parlant de dessert au chocolat, ce week-end Albert a encore donné la becquée à Basile (cette fois c’était un Malo) 😉

Quand il y a du chocolat, tout va !

En marche !

Une chose est sûre : on n’en fera pas un grand politicien (ouf). Basile aura donc laissé passer les primaires, le Pénélopegate, la présidentielle, les législatives et la fin de l’état de grâce pour se mettre en marche ! Pour un peu il nous faisait ça en plein débat sur la loi travail, le petit fou.

Mais ça y est, ce soir, après avoir vu Basile marcher sans appui de notre chambre à celles des doudous (avec la chicane et tout), Olivier a officiellement introduit Basile dans la grande famille des homo erectus (pour sapiens sapiens, c’est pas encore tout de suite). Voilà un moment qu’il se lâchait pour quelques pas à l’occasion. Depuis quelques jours, son grand jeu était de se laisser tomber exprès, puis de se relever, faire quelques pas, puis retomber, ce qui le plongeait dans la plus totale félicité.

Le quatre pattes reste son mode de déplacement par défaut (j’ai racheté des bermudas, étant donné qu’il les troue tous…). Basile semble attende d’être aussi rapide sur ses deux jambes qu’à quatre pattes pour  passer définitivement à la marche. Parce que oui, il ne se contente pas de marcher, il court presque (d’où les chutes régulières et la grande rigolade) ! Prend ça, Emmanuel.

Bisous !

 

Cinq fruits et légumes par jour…

Jeudi soir, je mettais la table dehors pour le dîner. Du canapé, où il chahutait avec Basile en regardant P’tit bus, Albert s’est réjoui :

– Maman on va manger dehors ?

– Oui, mais attend, le dîner n’est pas encore prêt.

– C’est un p’tit oeuf ?

– Non.

– C ‘est des pâtes chapeaux ?

– Non.

– C’est des pâtes tuyaux ?

– Non

– C’est des pâtes carrées ?

– Non…

– Alors c’est… des pâtes en lettres ?

– Non c’est… D’accord c’est du riz.

– Ah. Bah le riz il est pas encore prêt.

A ma décharge, il y avait aussi une super sauce tomate maison, pour la partie « légumes » (et ça a été toute une négociation pour qu’Albert accepte de manger ce riz dénaturé).

La série de photos date de mai, c’était une sorte de gratin, qui n’a visiblement pas emballé Albert…

« Qu’est-ce que tu me veux, toi, le gratin ? »

La salade de fruit tout de suite ça va mieux…

Bon, on mange quoi ce soir ?

Les moments mignons

Albert et Basile ont des moments mignons…

Quand ils se lisent des histoires (on a vu).

Quand Albert donne la becquée à Basile. L’autre jour, Basile n’a mangé aucune pâte de son assiette, car Albert lui donnait les siennes au fur et à mesure à la fourchette (une pour lui, une pour son frère). On a fini par verser les pâtes de Basile dans l’assiette d’Albert, voilà voilà…

Quand Albert fait boire Basile au verre à dent, après leur lavage de dents commun (on a acheté une brosse à dents à Basile qui piquait toujours celle de son frère).

Quand ils se font des câlins chahutants, le soir, juste avant de dormir, dans le lit d’Albert.

Et donc ce soir (juste avant l’orage), quand Albert a fait marcher Basile, qui tombait régulièrement, mais ça les faisait bien rire tous les deux (Olivier a une vidéo) !

Bisouuus !

Le liseron est un calice

Dimanche soir, Olivier et Basile ont désherbé la pelouse : en ce moment Olivier chasse férocement les orties, les chardons et surtout les liserons (le liseron, c’est le mal) qui repoussent joyeusement, comme à la grande époque dite « des poutres », malgré la pose du gazon.

Un peu plus tard, une fois rentrés, Albert a réclamé les « pouem ». C’est un de mes vieux livres que j’ai retrouvé dans nos divers tas de bouquins, qui s’appelle « Les plus beaux poèmes de la langue française » et qui est illustré. Et comme Albert est tout de même assez mignon comme enfant, il se laisse lire de la poésie par sa maman nostalgique. Et même il en redemande.

Parmi les poèmes de ce soir-là on a lu « Le liseron est un calice » de Maurice Rollinat. C’était tout à fait en phase avec l’état d’esprit d’Olivier vis-à-vis du liseron moyen :

Le liseron est un calice
Qui se balance à fleur de sol.
L’éphémère y suspend son vol
Et la coccinelle s’y glisse.

Le champignon rugueux et lisse
Parfois lui sert de parasol ;
Le liseron est un calice
Qui se balance à fleur de sol.

Or, quand les champs sont au supplice,
Brûlés par un ciel espagnol,
Il tend toujours son petit bol
Afin que l’averse l’emplisse :
Le liseron est un calice.

Mais bref (c’est joli quand-même, non ?), à la base je voulais surtout partager des photos de l’opération car comme mentionné plus haut, Basile a participé et c’était mignon. Il restait à côté d’Olivier, qui lui donnait les mauvaises herbes au fur et à mesure (sauf les orties) et il les mettait lui-même dans le seau. Suite à quoi il s’applaudissait, très content de lui. Et hop ça recommençait.

Pendant ce temps, Albert jouait avec son tracteur.

Là il s’est passé un truc mignon : je me suis assise adossée au grillage pour prendre la photo d’Albert et Basile m’a aussitôt imitée, avant de se remettre au jardinage, bientôt rejoint par Albert.

Ensuite on a essayé de faire marcher un peu Basile (attention : photos un peu floues et mignonnes).

Et sur ce, bisous !!

Les mots d’Albert #6

Petite fournée du dimanche soir, des mots d’Albert tout chauds.

Fais comme l’oiseau

Olivier (portant Albert au-dessus de lui) : Regarde, tu voles !

Albert : Non je vole pas !

Olivier : Pourquoi ?

Albert : Parce que je suis pas un oiseau.

Olivier : Mais il n’y a pas que les oiseaux qui volent.

Alice : Oui Albert, il y a quoi d’autre qui vole ?

Albert : les cornichons !!

Olivier : bah tu vois que tu peux voler.

Les insectes sont nos amis

Albert, avisant une fourmi sur la table de la cuisine : Oh une petite fourmi !

Alice, l’écrasant machinalement : Ah encore, elles m’embêtent ces fourmis.

Albert : Non je la veux dans ma main !

Albert, récupérant au creux de sa main une fourmi « un peu » cabossée : Oh, c’est rigolo comme ça…!

Alimentaire, mon cher Watson

Non Basile, il faut pas manger le livre Basile, c’est pas une saucisse.

Bisouuus !

En vrac et dans le désordre #5

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Encore un autre article « en vrac » ! Manque de temps et d’énergie en ce moment pour faire des choses plus élaborées, et puis ce serait dommage quand-même de laisser toutes ces pépites photographiques dans mon téléphone…

Donc c’est parti !

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22h, Basile encaisse assez bien la canicule !

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Ah, ces petites séances de lecture (gros coup de cœur sur ce livre, d’ailleurs) !

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On notera que Doudou est couché et soigneusement bordé par Albert.

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Le pot, à deux, c’est mieux.

Albert fait boire Basile avec son petit verre à dents (ils partagent également la brosse à dent).

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Look d’enfer et gros dodo pour aller à l’anniversaire d’Isabelle !

Le même jour : dîner en amoureux chez Benjamin et Nanou !

 

 

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Basile joue de mieux en mieux sur le trampoline avec son frère !

Voili voilà pour les photos ! A part ça, on va pas mal…

Albert est désespéré de ne pas trouver d’escargots par temps de canicule (c’est une vraie question : où se cachent-ils ?).

Basile fait ses premiers pas ! Hiiii ! Il y va très progressivement, mais il est à présent capable de marcher sur plusieurs mètres, même si le quatre-pattes reste son mode de déplacement privilégié (ça va plus vite).

On a démarré les balades en vélo : Olivier prend Albert, je prend Basile (merci Dadie et Benjamin et Nanou pour les prêt et don de porte-bébé), je me fais encore quelques frayeurs et me limite pour le moment à l’asphalte, mais c’est drôlement chouette de rouler à quatre !

Albert a été chez le coiffeur. Il est beau comme un camion, mais j’ai pas pris de photo (il était de fort mauvais poil).

On va peut-être vraiment réussir à avoir des tomates cette année, pour la première fois depuis toujours. Nous sommes fin juin, les plans de tomates sont couverts de fleur, pas de mildiou à l’horizon… Croisons les doigts.

Bisous !

Vos papiers s’il vous plaît !

En faisant un peu de ménage dans les tréfonds de ce blog, je retrouve un petit article laissé en suspens, qui date de septembre dernier ! On venait de récupérer les cartes d’identités d’Albert, Basile et moi, et vu leurs bouilles, j’avais envie de partager !

Olivier, toujours vigilant, m’a interpellé sur la pertinence de balancer sur Internet ces cartes d’identités toute neuves, qui auraient pu être utilisées à mauvais escient, sait-on jamais (surtout avec la tête de camionneur biélorusse de Basile sur sa photo…). On s’est dit qu’il fallait au moins gommer quelques lignes 😉 Et, vieux motard que jamais, c’est chose faite (je m’occupe au boulot entre midi et deux, voilà voilà).

En  septembre 2016, j’écrivais :

L’étape inoubliable, c’était la prise des empreintes digitales, tout un poème pour obtenir celle d’Albert, encore plus drôle pour Basile et ses petits doigts repliés de hibou.

Nous pouvons désormais voyager si besoin est (la carte est maintenant obligatoire pour prendre l’avion même en vol intérieur, même pour les bébés…), chic alors !

J’ajoute une deuxième étape inoubliable (Chloé, si tu te souviens…) : la séance photo ! Pour bien faire on a été chez un vrai photographe, à Villers-Cotterêts. Albert a eu très peur de l’appareil, il a fallu aller lui acheter un pain au chocolat pour le calmer, puis retenter. Le type a usé de tous ses sortilèges de charmeur de serpent et réussi à immortaliser cette petite tête de Droopy.

Pour Basile ça a duré 4 secondes, poker face, et hop, dans la boîte ! (On ferait ça aujourd’hui, il nous sortirait son sourire XXL, et la Préfecture refuserait la photo sous prétexte qu’on voit ses 6 dents – Albert, lui, serait déjà à l’autre bout de la place, en signe de vibrante protestation).

Bisous 🙂

Mercredi canicule

Ce mercredi, comme depuis quelques jours Albert a débarqué dans notre chambre à 6h30 (youpi !) (l’avantage c’est que maintenant il vient nous voir directement, plutôt que de sauter dans le lit de son frère, qui n’apprécie que moyennement l’intrusion).

Après le départ d’Olivier, j’ai profité de ce démarrage matinal pour prendre le petit-déjeuner dans le jardin à la fraîche (une vraie impression de vacances !), et Albert et Basile ont ainsi pu jouer un peu dehors. On a ensuite fait une rapidissime promenade (à la borne à verre, parce que YOLO), mais déjà, il faisait trop chaud dehors…

J’appréhendais un peu les trois heures qui restaient ensuite à passer avant le repas, « confinés » dans la maison, mais les doudous ont été supers (on a même passé l’aspirateur sans hurlements, c’est dire) ! A un moment, ils jouaient chacun dans leur coin, et c’était mignon…

Albert s’était fait une route de livres pour sa voiture de pompier rouge…

Et pendant ce temps, Basile téléphonait !

Un peu plus tard, ils ont voulu jouer avec la guitare de Maman. Le problème c’est que Basile tape dessus (comme sur un piano) et qu’Albert râle « Non Basile on tape pas », pendant que j’essaie de leur montrer qu’on ne joue pas de la basse comme de la guitare, regardez les enfants (le public est peu réceptif). Donc ça ne dure jamais longtemps.

Ajout de dernière minute : Basile au réveil de la sieste, après un verre d’eau et un demi-oréo :

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Second ajout, Albert et Basile dans la « piscine », puis Albert qui nettoie le tracteur 😉

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Bisouuus et bon réchauffement climatique à tous !!

Paris, Dadie, école, maison et mairie

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Paris

Jeudi soir dernier, Olivier et moi avons fait une virée parisienne (plus exactement, j’ai fait une virée parisienne, Olivier étant désormais un Parisien pendulaire confirmé), à dos de vélibs (une grosse heure de vélo en tout dans la soirée, pfiou…) ! Direction le théâtre Comédie Nation (petite salle mignonne – 80 places – pas de clim’) pour assister au spectacle de théâtre de Chloé (vraiment top, on vous le conseillerait s’il y avait eu d’autres représentations), « De Vies en Ville », des Ateliers Dedans de la Cie Tout le monde dehors. Dîner en terrasse avant (photo !), et ensuite retour (vélib-voiture) dans une maison viiide !

Vide ? Mais, et les doudous ?

Dadie

Albert et Basile, doudous-en-titre, ont passé la nuit chez Dadie. Ils ont bien mangé (pâtes en lettres-knakis) avec Claire (et Éléonore) et Hélène, et bien dormi. Quand je suis arrivée à 8h, un Albert très en forme (et levé depuis 6h30) m’a sauté dans les bras. Le temps de réveiller Basile, et on filait chez Samia pour la matinée.

Le plan, c’était de les récupérer à midi pour déjeuner et siester chez Dadie, pour cause de programme exceptionnel l’après-midi (voir ci-dessous). Un plan très au point, sauf qu’à 11h30 Samia m’informait par texto que, après deux heures de jeux en extérieur, les enfants avaient faim et qu’ils regardaient Kylen manger son repas. Il y a peu de choses moins supportable pour une mère que de savoir que ses enfants ont faim sans rien pouvoir faire. Mais savoir que POUR UNE FOIS ils ont faim et que PERSONNE ne profite de l’occasion pour les gaver nourrir, c’est frustrant. Bon évidemment, ils ont eu droit à un très correct apéro chez Samia (dans la panique, je lui ai donné carte blanche), ce qui fait qu’à midi dix ils n’ont pas du tout goûté au repas préparé pour eux chez Dadie par Claire. Bref. Très au point.

L’après-midi, une grande expérience attendait Albert : l’adaptation à l’école !

École

C’est un Albert tout guilleret que j’ai emmené à l’école par ce bel après-midi de juin, sous un ciel bleu parsemé de gros cumulus. Je ne sais pas si quelqu’un l’a initié (dénoncez-vous) ou si l’idée a germé seule dans sa petite tête, mais il a passé une bonne partie du trajet à essayer de trouver des animaux dans les nuages. J’ai voulu jouer aussi mais Albert n’a vu ni mon chapeau, ni mon crocodile (bon en même temps je n’avais pas non plus clairement vu son hippopotame).

Arrivés à l’école, on a fait le tour du propriétaire : la salle de sieste où les petits dormaient encore, les petites toilettes (dans le couloir), la salle de classe. Albert a filé dans le coin des voitures, où jouait déjà Léo, un autre petit Ivorien « en adaptation » dont la maman a bien tenu 45 secondes de conversation avant de m’annoncer qu’il était propre depuis 5 jours. Peut-être, mais je suis sûre qu’il ne voit pas d’hippopotame dans les cumulus, lui.

C’était calme et serein, on a regardé les grands (ils ne sont que deux élèves en Grande section !) écrire des mots sur des ardoises. J’ai trouvé qu’ils étaient super forts. On a regardé les moyens classer des chiffres, puis dessiner des poissons pour le bricolage de « la fête des mères de Papa » (Emma, 5 ans). J’ai senti trop tard qu’Albert était en train de remplir sa couche. Évitant le regard de la maman de Léo, je l’ai emmené fissa aux « petites toilettes » pour qu’il termine son forfait. Ça a beaucoup intéressé Sophie (6 ans) et Emma (5 ans). Sophie s’est installé sur les toilettes d’à côté pour faire sa petite affaire en continuant de papoter, puis Ryan (6 ans) dans celles encore d’à côté. Pendant ce temps Albert s’enfonçait lentement dans les petites toilettes (encore trop larges – mais il n’y a pas de réducteur, m’a dit l’ATSEM) et faisait un pipi (ha !).

Après cet épisode, Albert a été un peu plus « pot de colle » avec moi (« Vous avez du mal à le lâcher », m’a dit la maîtresse, gnagnagna). Mais il a fini par regagner le coin voitures où jouaient à présent d’autres petits. A un moment, la maîtresse a dit « allez on range » et en moins de temps qu’il ne m’a fallu pour intégrer l’information, le coin voitures était entièrement rangé, ainsi que le reste de la classe. Peu à peu tout le monde s’est préparé pour la sortie. Un adjoint au Maire avait apporté un cageot d’oranges et tous les enfants sont repartis avec une orange. C’est d’ailleurs la seule chose qu’Albert aura ensuite à dire sur l’école : « La maîtresse m’a donné une belle orange ». Et puis certains enfants sont repartis dans le car scolaire : Albert et Léo étaient fascinés.

Un dernier papotage avec la maîtresse et on est repartis, Albert tenant son orange contre lui comme un trophée.

(Du coup j’ai pas fait de photo : ayant déjà été repérée comme la maman sur-protectrice, je me suis dit que ça ferait mauvais effet !)

Re-Dadie

Pour se remettre de nos émotions, on est retournés chez Dadie. Elle a fait un petit jus avec la fameuse orange, qu’Albert a dégusté en trempant des boudoirs dedans. Là-dessus Basile s’est réveillé et a eu droit au même goûter (mais avec une orange standard).

Puis on est sortis, on a bien joué dehors : cueillettes de fraises des bois, cache cache avec Grand-Père, entraînement à la marche pour Basile, et sable !

C’était une très bonne fin d’après-midi et soirée. Basile semble avoir eu le déclic de la marche, et il s’est presque lâché à plusieurs reprises. Juste avant de partir (il était pourtant bien tard), il a même fait quelques vrais pas avec Dadie, dans l’entrée !

Maison

Après, c’était le week-end ! Mais, un peu éprouvés par notre fin de semaine (on a plus vingt ans) et assommés par la chaleur, on n’a pas fait grand-chose… Une petite balade le matin…

… Une petite séance de piscine le soir (on a toujours pas la piscine, donc la petite baignoire a repris du service) !

Ceci est une maigre sélection parmi des tas d’autres photos très chouettes (notamment une partie de foot !) mais bon, on va laisser les petites bistouquettes à l’air dans mon disque dur 😉

Mairie

Dimanche, Olivier et moi étions de bureau de vote, lui sur le créneau 13h-15h30 et moi sur le 15h30-18h. Pour moi, c’était la première fois (Olivier l’a fait la semaine dernière). Sur 169 inscrits, il y aura eu 90 votants dans la journée (plus que la moyenne nationale…), dont 10 sur mon créneau. Mais j’avais mon tricot.

Le dépouillement a été assez rapide, avec cela de notable qu’il y a eu 22 bulletins blanc et nuls (contre 2 seulement la semaine dernière) !

Après un petit coucou à Mounette, un p’tit oeuf à la maison, on a essayé de coucher les doudous tôt : échec ! Il faisait si chaud que Basile s’est endormi à 23h passées… Et c’est reparti pour une nouvelle semaine 🙂

Bisous !