Archives de catégorie : Bonjour Public

Les frères Gallagher

… Ce fut le commentaire d’Olivier à la vue de cette série de photos de début janvier (avant qu’on coupe les cheveux d’Albert).

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Il a un peu raison 😉 Sont-ils pas beaux, nos rockeurs à rayures ?

Sinon dans un tout autre domaine, un point « sommeil de Basile ». La semaine dernière on a essayé une nouvelle technique pour l’aider à s’endormir tout seul mais sans le laisser pleurer… Et pour l’instant, succès total !

Cela consiste à coucher Basile dans son lit (après avoir lu un petit livre et chanté une chanson), avec juste une petite veilleuse, et rester avec lui, simplement en le rallongeant et en lui parlant dès qu’il se met debout. La personne ayant partagé ce « truc » sur je ne sais plus quel forum de parent désespéré, indiquait que le premier soir, il fallait s’attendre à faire le geste une cinquantaine de fois, mais qu’ensuite ça allait en s’améliorant.

Le premier soir, Basile s’est relevé environ 20 fois, il a énormément pleuré, comme toujours lorsqu’on le mettait seul dans son lit avant, mais comme j’étais juste à côté, il n’est pas « monté en pression » (de sorte qu’on arrivait plus à le calmer). Il a fini par céder à la fatigue et s’est endormi d’un coup, après une petite heure et demi quand-même…

Le deuxième soir, il s’est beaucoup relevé aussi, mais sans pleurs. Le troisième, idem, et ainsi de suite. Globalement, depuis le troisième soir, je quitte la chambre avant qu’il ne s’endorme, et ça passe (il lui arrive de ralouiller/chantouiller un peu, sans plus). On est pas encore tout à fait sortis d’affaire mais le coucher de Basile dure maintenant environ 30 minutes, et derrière on peut coucher tranquillement Albert (et pas trop tard). OUF !

Dire qu’Albert (qu’on « laissait pleurer » au même âge) avait mis des semaines entières avant de s’endormir seul sans pleurs ! C’est la magie du deuxième, ou la magie de cette technique, ou juste que Basile est un enfant extra cool 😉

Voilà voilà, c’était juste pour clore le chapitre « désespoir » ouvert la semaine dernière 😉

Mad Men

Pour entamer la semaine sur de bonnes bases, je vous propose un plongeon au cœur des trente glorieuses avec cet édifiant recueil de publicités. Et moi qui pensais que les scénaristes de Mad Men exagéraient.

Bien entendu – et c’est assez dommage que présentement, je manque de temps pour aller faire des petites recherches – on trouve aujourd’hui quinze fois pire au hasard de n’importe quelle pub pour le yaourt, les soldes des Galeries Lafayette ou le prochain album du dernier groupe R&B à la mode… Il suffit de prendre le métro à Paris ou de regarder la télé…

Sans transition, un point « semis » :

– Choux : poussent bien, mais pas encore à l’étape « 3/4 feuilles », où l’on peut envisager de les repiquer

– Petits pois : ils commencent à germer, c’est très beau car il s’agit de grosses graines (un petit pois, quoi), dont la pousse, épaisse, crée un petit cratère bien visible dans la terre avant d’en sortir enfin !

– Basilic et coriandre : ayé, ça pousse. Par contre, pas de nouvelles du persil

– Capucines, Bourrache et œillets d’Inde : c’est la fête, tout pousse : il y aura plus de fleurs que de légumes dans ce potager.

– Tomates : ça pousse moyen, bouh… on les a mis dans la chambre du haut, sous les toits, pour qu’elles aient plus de chaleur.

Cette semaine et le weekend qui vient, on procèdera aux semis directement en terre (carottes, salades, oignons, radis…) et aux repiquages (choux, probablement). On s’occupera des pommes de terre, et on plantera les bulbes !

Une bonne bonne soirée

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Exceptionnel, comme d’hab, concert de Bénabar au Zénith avec Chloé!! Les meilleures chansons et des musiciens qui déboitent.
Nous étions dans la fosse, pour une fois, la faute à bibi qui suis arrivée en retard! Mais on y profite mieux de l’ambiance.
Retour difficile, merci la SNCF toujours là pour nous faire *préférer* le train.

Harry Potter

On peut probablement mourir d’un rhume, en fait.

Jeudi, prise d’une envie soudaine d’éternuer au boulot, je me suis retournée d’un coup afin de ne pas projeter mes miasmes au nez du collègue avec qui je discutais. Las, juste derrière moi, se tenait une porte ouverte, prête à l’attaque.

On ne parle pas assez de la violence d’un éternuement. Celui-ci m’a projeté droit sur l’arrête de la porte qui m’a fendu le front en deux (du moins ça m’a donné cette impression, avec tout le sang qui a coulé! En fait, la plaie fait 1,5 cm). Les collègues ont joué à merveille les petits infirmier. Au final, j’ai même pas eu besoin de points de suture et la cicatrice est désormais toute fine, bientôt invisible.

Cependant, mes collègues, et Olivier, s’en souviendront longtemps : j’ai désormais un casque de chantier à mon nom, à porter obligatoirement dans tous les lieux à à risque (les couloirs).