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Ravalement de façade #1

Coucouuu ! Pardon pardon, dur dur de trouver l’énergie pour mettre à jour ce petit espace internetique, ces derniers temps. Mais là il faut que je vous montre quelques petites choses 🙂

Donc cette année, on ravale la façade de la maison ! Pas toute la maison : uniquement le pignon orienté à l’Ouest et la façade orientée au Nord, c’est à dire les parties les plus abîmées par les années et les intempéries…

Alors j’ai pas beaucoup de photos « avant », mais voici quelques étapes :

Début août, on a coupé tous les aucubas qui envahissaient de plus en plus la façade nord, afin de laisser le champ libre pour le ravalement (et aussi parce qu’on ne trouve pas ça très joli) 🙂 On a fait travailler les enfants (plus Raphaël qui passait par là), ils sont pleins de bonne volonté et c’est pas cher.

Fin août, les artisans ont commencé à travailler. Ils ont posé des échafaudages sur le pignon ouest, stocké un gros tas de sable devant la maison, abattu la cheminée moche de l’ancienne chaudière (ça se voit plus du coup), et commencé à travailler les encadrements de portes en pierre sur la façade. C’est tout joli, tout beau, tout blanc, et ça donne une idée de l’effet final 🙂

Après il y a eu 15 jours de pause de chantier. Ils ont repris au début de cette semaine, et se sont attaqués au mur « bombé » du pignon, celui qui fait peur à tout le monde depuis quatre ans (et devinez quoi, j’ai pas de photo « avant » car je n’avais pas réalisé qu’ils allaient démolir tout ça comme ça paf, sur la journée).

Donc Albert a vu ça, il a dit qu’il allait falloir reconstruire toute la maison (bon état d’esprit), il a marqué une pause, puis il a ajouté : « C’est pas grave, je suis pas fâché ».

Ce mur, qui était donc bien fissuré, a abrité des abeilles il y a quelques années (à notre grande tristesse les artisans ont détruit l’essaim pendant les travaux en 2014) : on a retrouvé les vieux rayons de cire, hiii !

Et hier soir quand on est rentrés, c’était tout réparé 🙂

De plus, les aucubas ont été définitivement déracinés avec l’aide précieuse d’un de nos voisins (Gérard Parisot pour ceux qui connaissent). Dès que les travaux sont finis j’ambitionne de planter autre chose à la place, idéalement des hortensias car il semble que ça supporte bien l’ombre 🙂

Voili voilà ! Je ne sais pas trop à quel rythme ils vont continuer, mais je vais tâcher de documenter un peu le chantier 😉

PS pour Adeline : ouiiii je sais je sais, bientôt (bientôt), je mets des photos de l’intérieur de la maison 🙂

Bisous et bon weekend !

Côté jardin

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Notre jardin doit tout ou presque à Véro et Mika (remember Avril 2017). Mais en cette saison, j’ai un merci tout particulier à leur adresser pour y avoir planté ces très jolies fleurs (marguerites ?), qui foisonnent cette année et qui ensoleillent les lieux !

Côté jardin, cette année, on a encore ajouté quelques pierres à l’édifice (si je puis dire). Trois framboisiers, plusieurs fleurs et plantes vivaces qui pour l’instant ne donnent pas grand chose de passionnant, un hortensia grimpant pour tenter de camoufler progressivement notre vilain mur en béton, pleins de plantes aromatiques (qui fleurent bon la garrigueuh) le long de la maison… Sans parler des plantes miam : fraises, tomates, courgettes, potimarrons, cornichons et patates. Ces dernières ont poussé sauvagement à l’endroit où l’an dernier, j’ai pendant un temps enterré les déchets organiques (ça n’a pas duré). Parmi ces déchets il devait y avoir de la patate… A suivre, donc. J’ai découvert à cette occasion que les patatiers font de très jolies fleurs et produisent des fruits (toxiques). On apprend à tous les âges, n’est-ce pas ?

Tout ceci s’ajoute à ce qu’on avait mis l’an dernier : Véro et Mika nous avaient donné et planté des sedum, des graminées, et autres plantes ornementales très belles en ce moment, ainsi que bien sûr la petite haie de charmes… On a ajouté notre rosier de fiançailles offert par Paulette et Gérard (qui revient de très, très, très loin, la vie n’a pas été facile pour lui depuis 2012, mais enfin il est en terre depuis l’an dernier), la menthe qui gagne de plus en plus de terrain, les groseilliers de chez Agnès, une vigne de chez Agnès (encore toute petite), une deuxième vigne reçue en cadeau au baptême de Basile, qui est encore en pot mais qui a fait une grappe de raisin cette année (hâte de le goûter), le poirier palissé qui a fait tout pleins de poires (hâte de les goûter aussi), le rhododendron (absolument sublime quand il a fleuri en mai), le laurier-sauce, et aussi une plante qui fleurit en hiver dont je ne me souviens plus du nom, et pleins de bulbes qui ont déjà fleuri au printemps 🙂

Il y a aussi les petits anges partis trop tôt, essentiellement des fleurs : l’agapanthe qui ne pousse pas cette année, la pivoine, plantée au octobre, qui n’a pas pointé le bout de son nez, des dahlias de chez Dadie, et d’autres fleurs qui j’ai tenté de semer/planter/repiquer et qui ne doivent pas se sentir bien chez nous (ou bien c’est la faute aux limaces).

J’oublie les deux éléments du jardin qui étaient là avant avril 2017 : le très joli « Boules de Neige », qui fait des petites fleurs blanches en boules très jolies au printemps, et le cerisier offert par la famille Simonot/Fructus/Preusser pour notre crémaillère : cette année il a donné ses premières cerises (une demi-douzaine, mais c’est toujours ça de pris) !

Des photos de mai et juin.

Après la flore, la faune. Notre jardin est une fourmilière géante, et la lutte contre les fourmis au printemps a été sans merci : elles ne nous embêtent pas ni ne rentrent dans la maison, mais elles élèvent des pucerons sur nos « arbres » (le poirier, le cerisier et le boules de neige), ce qui empêche la floraison. Cette année on avait prévu le truc et Olivier a enduit tous les troncs de « glue », pour les empêcher de grimper. C’est à peu près écolo et ça a super bien marché !

On a été envahis comme tout le monde par les limaces et les escargots (à la plus grande joie des doudous…), les petites pilules bleues ont fait merveille…

Il y a aussi les souris, mais elles vivent à moitié dans la maison et à moitié dans le jardin, où globalement elles sont à peu près discrètes.

Ce week-end, un essaim d’abeilles a essayé de s’installer dans notre mur (en attendant le ravalement, il y a pleins de trous entre les pierres). C’était assez impressionnant, on a été obligé de fermer toutes les fenêtres tant le jardin était empli d’abeilles qui volaient dans tous les sens. Elles sont reparties au bout de quelques heures, l’endroit ne leur convenait pas. Heureusement : ça m’aurait fendu le cœur de devoir appeler les pompiers pour « déloger » l’essaim…

Voilà c’était le point jardin 😉 Bisous et doudous (quand-même).

Sapinlipopette

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Albert s’en faisait une joie depuis une semaine : samedi, on a fait le sapin !

Olivier a donc bravé les routes enneigées pour aller chercher le sapin, qu’on avait réservé auprès d’une ferme voisine où on achète nos légumes. Cette année, ils ont aussi fourni les sapins 😉 Petite déception pour Albert à la livraison : « Il est pas beau le sapin, il faut en racheter un autre ».

imageOui, évidemment, ça ne correspondait pas à son idée d’un beau sapin roi des forêts. Du coup on l’a déballé.

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Il y a eu l’opération balayage, qui a soulevé beaucoup d’enthousiasme. Puis on l’a décoré avec encore plus d’enthousiasme. Ce fut sportif, et les décorations sont moins bien réparties que d’habitude, quand je le fais toute seule. Bah.

Basile n’a pas voulu poser sur les photos finales, tristesse ! Mais Albert a mignonnement fait le job.

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Bisouuuus !

Automne ça pique un peu

Le vent fera craquer les branches
La brume viendra dans sa robe blanche
Y aura des feuilles partout
Couchées sur les caillouuuuuuux…

Alors entendons-nous bien : l’automne, c’est sans aucun doute la plus chouette des saisons. Fini les aoûtats, les moustiques, les coups de soleil, les 50°C dans la voiture, et bonjour les crumbles aux pommes, la tartiflette, le cocooning, les collants (aaah, les collants), la maison chaude quand on rentre, le petit air frisquet-mais-pas-tant-que-ça quand on sort, le village qui sent le feu de bois, la soupe, les feuilles tourbillonnantes, les couleurs de la forêt, les châtaignes.

Ici on a bien profité de ce début de saison qui sentait bon la noisette. Mais c’est passé vite, très vite. J’ai eu du mal à retracer ce qu’on a bien pu faire depuis début septembre. On est restés chez nous autant qu’on a pu, pour apprivoiser ce nouveau rythme… Du bricolage, des plannings de repas, un peu de déco, pas assez de travaux dans le jardin, du ménage avec modération, du rangement dans la cave (opération en cours…). Et des doudous mignons, oeuf corse.

Ai-je parlé de bricolage ? Olivier a fabriqué une lampe.

On a passé un superbe week-end familial à Jalhay, au tournant du mois d’octobre. Et j’emprunte ici quelques photos à Pab qui saisit toujours des perles de moments familiaux. Alors voilà, un peu de nous en Belgique (crédits photos : Pab) !

Bon, et je continue avec les photos de Pab puisqu’elles sont tout de même très chouettes : un petit dimanche à la maison en famille avec les Bandinelli et quelques Collard !


Et puis bon, ces dernières semaines on a un peu rampé jusqu’aux vacances de la Toussaint. Fatigue, plus envie d’aller à l’école, maladies diverses (oui c’est ça aussi l’automne…) !

Heureusement les vacances sont arrivées et avec elles un weekend bien chargé : vendredi soir, anniversaire d’Olivier entre nous…

Samedi, anniversaires d’octobre (Anthony, Kylian, Olivier, donc)…

Et dimanche, balade en bateau sur le canal de l’Ourcq pour les 80 ans de Mounette. Hem, égocentriquement, je n’ai retenu qu’une photo (de Pab, évidemment), pour des raisons évidentes de magnificence, photo que voici :

Viva Picardiuña independiente ! (Oui, apprîmes-t-on, ceci est le drapeau picard).

Sur ce, je dois filer (même pas le temps de fignoler un article correct, céplupossib’), prochaine article : l’Angleterre !! (où nous nous rendons avec Albert, Basile et Inconscience, en ferry, de samedi 28 à mardi 31, youpi et happy halloween)

Bisouus !

Merci Pab à qui cet article (et pas que) doit beaucoup. 🙂

Tous derrière la tondeuse *

* Titre en référence à cet excellent ouvrage, un des livres préférés d’Albert et Basile ! (Au passage, je viens de découvrir que l’école des Loisirs a réalisé un jeu en ligne et des fiches pédagogiques autour de ce livre ! Je suis emballée.)

Voici une série de photos qui date de fin août, mais j’avais oublié de la publier… Olivier s’était mis à tondre et Albert et Basile ont aidé au ramassage des feuilles, en prenant ce travail très au sérieux. 😉 Je savais qu’un jour on rentabiliserait cette passion pour les brouettes !

Bisouuus !

Bébés à lunettes

Il n’y a pas énormément à ajouter à ces photos 🙂 Albert est toujours aussi fan des lunettes kitsch de son papa, et il a absolument tenu à ce qu’on mette des lunettes à Basile aussi…

Et sinon, une autre photo prise ce matin :

Ceci est la meilleure nouvelle du printemps. Je m’explique : Depuis qu’on a refait le jardin, les pucerons noirs ont pris possession des lieux. Ils ont notamment envahi notre joli « Boule de neige » (je ne connais pas le vrai nom, c’est un arbuste qui fait de jolies fleurs blanches un peu comme du lilas, mais en forme de boules et qui sentent rien), qui du coup a fait très peu de fleurs cette année, à ma grande tristesse.

Il paraît que c’est normal, notre jardin est tout neuf et il faut un peu de temps pour que l’équilibre se fasse, c’est à dire que la grande chaîne de la vie se mette en place et, donc, en l’occurrence, que les prédateurs des pucerons rappliquent.

Or, qui mange du bon puceron bien dodu, engraissé à la sève de Boule de neige ? Les coccinelles, pardi. Ça fait donc des semaines que je guette les coccinelles, en vain.

Ce matin, en cherchant un « escargot jaune tout joli » pour Albert, j’ai découvert avec désolation que les pucerons avaient à présent jeté leur dévolu sur notre magnifique cerisier, qui avait déjà bien souffert du gel – si on a quatre cerises à récolter ce sera la fête, on fera un mini-clafouti.

Oui mais là, au milieu du futur champ de ruines qu’est mon cerisier (ça détruit les feuilles ces petites saloperies de pucerons), j’ai vu deux coccinelles en train de faire des bébés 🙂 Moi aussi à leur place, tel le pionnier ayant enfin trouvé sa terre promise, je me serais mise à faire des bébés à cet endroit précis : la chasse est ouverte. Open pucerons, c’est ma tournée.

Bref, à notre jardin bientôt équilibré, et à la longue lignée de coccinelles qui va s’y établir  (asiatiques, certes, mais on fait avec ce qu’on a ma bonne dame) !

Bisous

Hier soir

Hier soir, on est rentrés pas très tôt, avec les doudous. La journée de travail avait été bien remplie et j’ai quitté tard le boulot. Arrivés chez Samia, j’ai trouvé les enfants qui jouaient en bas (sous bonne garde de Samia bien sûr !) autour du toboggan, avec les autres enfants de la résidence, comme toujours quand il fait beau. Du coup je ne suis pas partie tout de suite, ils jouaient bien, on a papoté – Albert a eu de la fièvre tout le week-end et même s’il va mieux, le debrief du soir prend un peu plus longtemps dans ces cas là !

On a finalement pris la route, et on est arrivés à la maison vers 19h15. J’ai reçu en route un message d’Olivier qui indiquait que son train lambinait… Comme à chaque « grosse chaleur » ! Albert et Basile ont joué dans le jardin tandis que j’arrosais les plantations : notre petit nouveau poirier palissé, les groseilliers, les plantes aromatiques, les semis de concombre et de potimarron.

Albert ayant réclamé un « p’tit œuf », et parce que je sais que c’est THE repas qui passe tout seul, j’ai lancé la cuisson de deux œufs à la coque et fait griller puis beurré une tranche de pain de mie. Hop, 5 minutes plus tard, deux enfants mouillés (ils ont joué avec le tuyau d’eau que j’avais laissé couler en filet au pied du poirier) MAIS aux mains à peu près propres étaient installés à table pour le dîner.

Vers la fin du dîner des enfants, Olivier a passé une tête : les meubles de jardin avaient (enfin) été livrés (chez Mounette), il empruntait donc le pick up de Jean pour aller les récupérer ! On a terminé de dîner, et quand Olivier est revenu, ayant déposé la livraison en bas du jardin (pfiou, c’est lourd), Albert est allé avec lui rendre le pick up (quelques dizaines de mètres de bonheur pendant lesquels Albert « conduit » le camion, calé sur les genoux d’Olivier).

Pendant ce temps, j’ai déballé deux chaises et Basile, après avoir tenté d’escalader l’une d’elles, s’est mis à jeter les cailloux dans les cartons (c’est toujours mieux que dans la pelouse, dans l’escalier ou dans le persil).

Au retour du père et du fils, on a monté la table, aidés d’Albert of course. Moi je tenais Basile qui essayait de monter dessus, parmi d’autres activités dangereuses.

Une fois la table installée, on a contemplé notre œuvre, puis on a entamé la partie difficile de la soirée (depuis quelques jours) : le couchage. Déshabillage, pyjamas, couches, lecture dans notre chambre, installation d’Albert dans son lit et de Basile dans sa turbulette, on allume « les étoiles » (veilleuse qui projette des étoiles au plafond), chahutages et câlins d’Albert et Basile sur le lit du premier, au revoir à Papa qui va étendre la lessive, puis chansons avec Basile dans les bras et en tenant la main d’Albert, puis Bonne-nuit-les-doudous-on-se-retrouve-demain-je-vous-aime-fort ! En ce moment il faut remonter plusieurs fois après ce premier couchage. Hier je me suis fâchée, fort, ce qui a réduit à deux le nombre de rappels. C’est toujours ça de pris.

Puis avec Olivier on a dîné, youhou ! D’habitude on dîne avec les enfants mais le retard de train et le montage de la table ont un peu tout chamboulé, hier soir. Malheureusement, il ne faisait plus suffisamment jour pour dîner dehors… Pas grave, on aura pleins d’autres occasions 🙂

Les travaux du jardin, encore des photos !

Voici quelques-unes des photos prises par Véro au cours du week-end, qui sont ultra-réussies et permettent de mieux se rendre compte de certaines étapes des travaux ! Et surtout je suis dessus, tadam.

Démarrage ! Olivier dans sa tenue de bricolage de lumière dont il se débarrassera rapidement, à cause de la chaleur tropicale de cette journée.

La création de la terrasse

Le tas de poutres tronçonnées, prête à être utilisées en bois de chauffage

Création de la terrasse toujours.

Coucou !

Remplissage de la terrasse par des gravillons

Les jardiniers-bricoleurs du dimanche

Pose du gazon en rouleaux. So british.

Pose du gazon en rouleaux toujours

C’est tout posé !

Pose de la clôture, avec le portillon (qui ferme à clé !)

Le dimanche : allers-retours en brouettes pour charrier les gravats…

Et on emmène les poutres chez les gens qui se chauffent au bois !

La pose des dalles sur le gazon, très important !

Merci Véro pour ces photos 🙂

« On a retiré le jardin ! »

Tadam ! On a un beau nouveau jardin magnifique !

Donc pour rappel, notre jardin, c’était une sorte de no man’s land, encombré de poutres (celles-là) dont on s’était dit qu’on en ferait quelque-chose et puis finalement non, de dalles de béton (vestige d’une ancienne terrasse), de bazars et gravats divers, mais aussi d’une flore exceptionnelle (orties et chardons, essentiellement). Avec les enfants, on utilisait gosso-modo un quart de la surface (épargnée par les orties et les poutres). Et le fil à linge, aussi.

(Sur ces photos, une bonne partie des poutres a déjà été évacuée !)

Ah oui et aussi : le jardin est surélevé de 3 mètres par rapport à la rue, l’ancien grillage était fichu et impossible à remettre en l’état, c’était donc hyper dangereux. Disons qu’on s’en sortait avec Albert qui restait dans les zones sûres, mais que Basile a un sens de l’aventure tout à fait inopportun.

Il y a quelques semaines, nous avons pris date avec Véro et Mika pour se faire un week-end « aménagement du jardin ». Au programme, clôture et pelouse (en rouleaux). Du coup le week-end d’avant, on a avancé sur le déblayage. Quelques photos juste parce que c’était la « golden hour ».

Et puis samedi matin, pouf, arrivée des Rood avec une mini-pelle, plein de gazon en rouleau, une clôture, des plantes par dizaines, de la bâche, des outils, de la bonne humeur et une énergie incroyable.

Jour 1 : plantation de la haie de charmes, création d’un petit massif, création de la terrasse et remplissage avec des gravillons, retournage et aplanissement de la terre, pose du gazon.

Le soir, on est tous rentrés manger à Mary où les enfants avaient passé la journée. Le matin du jour 2, ça donnait ça :

Commentaire d’Albert : « On a retiré le jardin »… Faites des gosses. Pour la peine, une photo d’Albert au réveil de la sieste (façon de parler, car il n’a pas dormi), si content de voir arriver Grand-Père qu’il a mis ses bottes tout seul et qu’il est sorti en me demandant de lui mettre « son petit manteau ».

Le dimanche, il restait donc la fameuse clôture à faire, la plantation d’un second massif (derrière la clôture, qu’on a pas pu coller au mur, donc), et le débarras de la première partie du jardin (en bas de l’escalier sur cette photo), qui servait de décharge à gravats depuis même avant notre arrivée (non prévu initialement, mais grâce à de solides renforts, on l’a fait…!), et la pose du portillon d’entrée (encore moins prévue, mais faite également). [Là je m’aperçois qu’il manque des photos, je les charge très vite.]

Le matin, j’ai pu aider un peu mais l’après-midi les enfants surexités demandaient de l’attention. Nous avons eu tous les cousins Migeot & Rood avec nous dans le jardin, aussi j’ai fait des photos 🙂

C’était très sympa, on était nombreux et il y a beaucoup de monde qui est passé. Olivier dit que le village nous connaît désormais comme « les gens qui mettent du gazon en rouleaux »…

Je ne résiste pas à la série de photos thématiques « Basile à Alcatraz ».

Le soir, nous avons joyeusement festoyé en très bonne compagnie dans le joli jardin, ce fut chouette ! On a quand-même eu un temps splendide pour ce week-end de travaux au jardin 🙂

Encore un immense merci à Véro et Micka, et aussi Dadie et Grand-Père et Pierre pour leur aide précieuse ! Maintenant, la saison des barbecue est ouverte (avis aux amateurs) !

Prémices de printemps

Ce week-end Olivier a commencé à tronçonner les ex-poutres du grenier qui tapissent le jardin depuis trois ans (hem). Objectif : en faire des « bûches » exploitables par les amis, familles ou voisins disposant de poêles ou de cheminées – et donc, à termes, s’en débarrasser !

On craignait un peu la réaction d’Albert et de Basile, qui ont un léger problème avec les bruits. Ah, le nombre de siestes interrompues en pleurant parce qu’un voisin avait le malheur de jouer de la tronçonneuse/perceuse/machine quelconque à 50 ou 100 mètres de là… Mais cette fois, pas de souci. Basile a continué a dormir comme un bienheureux (c’était pendant sa sieste du matin) et Albert, qui était dehors avec nous, a longuement commenté l’opération en cours (en prononçant chaque fois « tronçonneuse » d’une façon différente) mais sans trop de frayeur. Il était d’ailleurs bien occupé avec sa brouette.

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Dimanche après-midi, Olivier terminait le rangement des tronçons, accompagné d’Albert. Je jouais avec Basile à l’intérieur, et puis Basile a eu vraiment envie d’aller voir son frère. Il s’est collé à la vitre en mode escargot. On est donc sortis, Basile dans sa tenue de Bibendum !

Oh, et puis on a aussi fait une petite balade et découvert les agneaux de l’année, ça y est ils sortent !

Enfin voilà, un week-end où on s’est pas mal aéré, ce qui a fait du bien à tout le monde ! Quelques petites photos complémentaires, parce qu’on a aussi fait un peu les fous dans la maison… (oui je viens de découvrir la fonction « galerie » du blog (il serait temps) et j’en abuse)

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Bon allez on assume le fourre-tout, j’en profite pour mettre une photo du blicolage d’il y a quinze jours (commode pour notre chambre hiii).

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C’est bientôt le printemps et on s’ébroue, il fait moins froid, il fait jour quand on part le matin, les perce-neige fleurissent, joie et bonheur dans nos cœurs.

Bisouuus !