Archives de catégorie : Les doudous

Les mots d’Albert #6

Petite fournée du dimanche soir, des mots d’Albert tout chauds.

Fais comme l’oiseau

Olivier (portant Albert au-dessus de lui) : Regarde, tu voles !

Albert : Non je vole pas !

Olivier : Pourquoi ?

Albert : Parce que je suis pas un oiseau.

Olivier : Mais il n’y a pas que les oiseaux qui volent.

Alice : Oui Albert, il y a quoi d’autre qui vole ?

Albert : les cornichons !!

Olivier : bah tu vois que tu peux voler.

Les insectes sont nos amis

Albert, avisant une fourmi sur la table de la cuisine : Oh une petite fourmi !

Alice, l’écrasant machinalement : Ah encore, elles m’embêtent ces fourmis.

Albert : Non je la veux dans ma main !

Albert, récupérant au creux de sa main une fourmi « un peu » cabossée : Oh, c’est rigolo comme ça…!

Alimentaire, mon cher Watson

Non Basile, il faut pas manger le livre Basile, c’est pas une saucisse.

Bisouuus !

En vrac et dans le désordre #5

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Encore un autre article « en vrac » ! Manque de temps et d’énergie en ce moment pour faire des choses plus élaborées, et puis ce serait dommage quand-même de laisser toutes ces pépites photographiques dans mon téléphone…

Donc c’est parti !

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22h, Basile encaisse assez bien la canicule !

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Ah, ces petites séances de lecture (gros coup de cœur sur ce livre, d’ailleurs) !

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On notera que Doudou est couché et soigneusement bordé par Albert.

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Le pot, à deux, c’est mieux.

Albert fait boire Basile avec son petit verre à dents (ils partagent également la brosse à dent).

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Look d’enfer et gros dodo pour aller à l’anniversaire d’Isabelle !

Le même jour : dîner en amoureux chez Benjamin et Nanou !

 

 

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Basile joue de mieux en mieux sur le trampoline avec son frère !

Voili voilà pour les photos ! A part ça, on va pas mal…

Albert est désespéré de ne pas trouver d’escargots par temps de canicule (c’est une vraie question : où se cachent-ils ?).

Basile fait ses premiers pas ! Hiiii ! Il y va très progressivement, mais il est à présent capable de marcher sur plusieurs mètres, même si le quatre-pattes reste son mode de déplacement privilégié (ça va plus vite).

On a démarré les balades en vélo : Olivier prend Albert, je prend Basile (merci Dadie et Benjamin et Nanou pour les prêt et don de porte-bébé), je me fais encore quelques frayeurs et me limite pour le moment à l’asphalte, mais c’est drôlement chouette de rouler à quatre !

Albert a été chez le coiffeur. Il est beau comme un camion, mais j’ai pas pris de photo (il était de fort mauvais poil).

On va peut-être vraiment réussir à avoir des tomates cette année, pour la première fois depuis toujours. Nous sommes fin juin, les plans de tomates sont couverts de fleur, pas de mildiou à l’horizon… Croisons les doigts.

Bisous !

Vos papiers s’il vous plaît !

En faisant un peu de ménage dans les tréfonds de ce blog, je retrouve un petit article laissé en suspens, qui date de septembre dernier ! On venait de récupérer les cartes d’identités d’Albert, Basile et moi, et vu leurs bouilles, j’avais envie de partager !

Olivier, toujours vigilant, m’a interpellé sur la pertinence de balancer sur Internet ces cartes d’identités toute neuves, qui auraient pu être utilisées à mauvais escient, sait-on jamais (surtout avec la tête de camionneur biélorusse de Basile sur sa photo…). On s’est dit qu’il fallait au moins gommer quelques lignes 😉 Et, vieux motard que jamais, c’est chose faite (je m’occupe au boulot entre midi et deux, voilà voilà).

En  septembre 2016, j’écrivais :

L’étape inoubliable, c’était la prise des empreintes digitales, tout un poème pour obtenir celle d’Albert, encore plus drôle pour Basile et ses petits doigts repliés de hibou.

Nous pouvons désormais voyager si besoin est (la carte est maintenant obligatoire pour prendre l’avion même en vol intérieur, même pour les bébés…), chic alors !

J’ajoute une deuxième étape inoubliable (Chloé, si tu te souviens…) : la séance photo ! Pour bien faire on a été chez un vrai photographe, à Villers-Cotterêts. Albert a eu très peur de l’appareil, il a fallu aller lui acheter un pain au chocolat pour le calmer, puis retenter. Le type a usé de tous ses sortilèges de charmeur de serpent et réussi à immortaliser cette petite tête de Droopy.

Pour Basile ça a duré 4 secondes, poker face, et hop, dans la boîte ! (On ferait ça aujourd’hui, il nous sortirait son sourire XXL, et la Préfecture refuserait la photo sous prétexte qu’on voit ses 6 dents – Albert, lui, serait déjà à l’autre bout de la place, en signe de vibrante protestation).

Bisous 🙂

Mercredi canicule

Ce mercredi, comme depuis quelques jours Albert a débarqué dans notre chambre à 6h30 (youpi !) (l’avantage c’est que maintenant il vient nous voir directement, plutôt que de sauter dans le lit de son frère, qui n’apprécie que moyennement l’intrusion).

Après le départ d’Olivier, j’ai profité de ce démarrage matinal pour prendre le petit-déjeuner dans le jardin à la fraîche (une vraie impression de vacances !), et Albert et Basile ont ainsi pu jouer un peu dehors. On a ensuite fait une rapidissime promenade (à la borne à verre, parce que YOLO), mais déjà, il faisait trop chaud dehors…

J’appréhendais un peu les trois heures qui restaient ensuite à passer avant le repas, « confinés » dans la maison, mais les doudous ont été supers (on a même passé l’aspirateur sans hurlements, c’est dire) ! A un moment, ils jouaient chacun dans leur coin, et c’était mignon…

Albert s’était fait une route de livres pour sa voiture de pompier rouge…

Et pendant ce temps, Basile téléphonait !

Un peu plus tard, ils ont voulu jouer avec la guitare de Maman. Le problème c’est que Basile tape dessus (comme sur un piano) et qu’Albert râle « Non Basile on tape pas », pendant que j’essaie de leur montrer qu’on ne joue pas de la basse comme de la guitare, regardez les enfants (le public est peu réceptif). Donc ça ne dure jamais longtemps.

Ajout de dernière minute : Basile au réveil de la sieste, après un verre d’eau et un demi-oréo :

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Second ajout, Albert et Basile dans la « piscine », puis Albert qui nettoie le tracteur 😉

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Bisouuus et bon réchauffement climatique à tous !!

Paris, Dadie, école, maison et mairie

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Paris

Jeudi soir dernier, Olivier et moi avons fait une virée parisienne (plus exactement, j’ai fait une virée parisienne, Olivier étant désormais un Parisien pendulaire confirmé), à dos de vélibs (une grosse heure de vélo en tout dans la soirée, pfiou…) ! Direction le théâtre Comédie Nation (petite salle mignonne – 80 places – pas de clim’) pour assister au spectacle de théâtre de Chloé (vraiment top, on vous le conseillerait s’il y avait eu d’autres représentations), « De Vies en Ville », des Ateliers Dedans de la Cie Tout le monde dehors. Dîner en terrasse avant (photo !), et ensuite retour (vélib-voiture) dans une maison viiide !

Vide ? Mais, et les doudous ?

Dadie

Albert et Basile, doudous-en-titre, ont passé la nuit chez Dadie. Ils ont bien mangé (pâtes en lettres-knakis) avec Claire (et Éléonore) et Hélène, et bien dormi. Quand je suis arrivée à 8h, un Albert très en forme (et levé depuis 6h30) m’a sauté dans les bras. Le temps de réveiller Basile, et on filait chez Samia pour la matinée.

Le plan, c’était de les récupérer à midi pour déjeuner et siester chez Dadie, pour cause de programme exceptionnel l’après-midi (voir ci-dessous). Un plan très au point, sauf qu’à 11h30 Samia m’informait par texto que, après deux heures de jeux en extérieur, les enfants avaient faim et qu’ils regardaient Kylen manger son repas. Il y a peu de choses moins supportable pour une mère que de savoir que ses enfants ont faim sans rien pouvoir faire. Mais savoir que POUR UNE FOIS ils ont faim et que PERSONNE ne profite de l’occasion pour les gaver nourrir, c’est frustrant. Bon évidemment, ils ont eu droit à un très correct apéro chez Samia (dans la panique, je lui ai donné carte blanche), ce qui fait qu’à midi dix ils n’ont pas du tout goûté au repas préparé pour eux chez Dadie par Claire. Bref. Très au point.

L’après-midi, une grande expérience attendait Albert : l’adaptation à l’école !

École

C’est un Albert tout guilleret que j’ai emmené à l’école par ce bel après-midi de juin, sous un ciel bleu parsemé de gros cumulus. Je ne sais pas si quelqu’un l’a initié (dénoncez-vous) ou si l’idée a germé seule dans sa petite tête, mais il a passé une bonne partie du trajet à essayer de trouver des animaux dans les nuages. J’ai voulu jouer aussi mais Albert n’a vu ni mon chapeau, ni mon crocodile (bon en même temps je n’avais pas non plus clairement vu son hippopotame).

Arrivés à l’école, on a fait le tour du propriétaire : la salle de sieste où les petits dormaient encore, les petites toilettes (dans le couloir), la salle de classe. Albert a filé dans le coin des voitures, où jouait déjà Léo, un autre petit Ivorien « en adaptation » dont la maman a bien tenu 45 secondes de conversation avant de m’annoncer qu’il était propre depuis 5 jours. Peut-être, mais je suis sûre qu’il ne voit pas d’hippopotame dans les cumulus, lui.

C’était calme et serein, on a regardé les grands (ils ne sont que deux élèves en Grande section !) écrire des mots sur des ardoises. J’ai trouvé qu’ils étaient super forts. On a regardé les moyens classer des chiffres, puis dessiner des poissons pour le bricolage de « la fête des mères de Papa » (Emma, 5 ans). J’ai senti trop tard qu’Albert était en train de remplir sa couche. Évitant le regard de la maman de Léo, je l’ai emmené fissa aux « petites toilettes » pour qu’il termine son forfait. Ça a beaucoup intéressé Sophie (6 ans) et Emma (5 ans). Sophie s’est installé sur les toilettes d’à côté pour faire sa petite affaire en continuant de papoter, puis Ryan (6 ans) dans celles encore d’à côté. Pendant ce temps Albert s’enfonçait lentement dans les petites toilettes (encore trop larges – mais il n’y a pas de réducteur, m’a dit l’ATSEM) et faisait un pipi (ha !).

Après cet épisode, Albert a été un peu plus « pot de colle » avec moi (« Vous avez du mal à le lâcher », m’a dit la maîtresse, gnagnagna). Mais il a fini par regagner le coin voitures où jouaient à présent d’autres petits. A un moment, la maîtresse a dit « allez on range » et en moins de temps qu’il ne m’a fallu pour intégrer l’information, le coin voitures était entièrement rangé, ainsi que le reste de la classe. Peu à peu tout le monde s’est préparé pour la sortie. Un adjoint au Maire avait apporté un cageot d’oranges et tous les enfants sont repartis avec une orange. C’est d’ailleurs la seule chose qu’Albert aura ensuite à dire sur l’école : « La maîtresse m’a donné une belle orange ». Et puis certains enfants sont repartis dans le car scolaire : Albert et Léo étaient fascinés.

Un dernier papotage avec la maîtresse et on est repartis, Albert tenant son orange contre lui comme un trophée.

(Du coup j’ai pas fait de photo : ayant déjà été repérée comme la maman sur-protectrice, je me suis dit que ça ferait mauvais effet !)

Re-Dadie

Pour se remettre de nos émotions, on est retournés chez Dadie. Elle a fait un petit jus avec la fameuse orange, qu’Albert a dégusté en trempant des boudoirs dedans. Là-dessus Basile s’est réveillé et a eu droit au même goûter (mais avec une orange standard).

Puis on est sortis, on a bien joué dehors : cueillettes de fraises des bois, cache cache avec Grand-Père, entraînement à la marche pour Basile, et sable !

C’était une très bonne fin d’après-midi et soirée. Basile semble avoir eu le déclic de la marche, et il s’est presque lâché à plusieurs reprises. Juste avant de partir (il était pourtant bien tard), il a même fait quelques vrais pas avec Dadie, dans l’entrée !

Maison

Après, c’était le week-end ! Mais, un peu éprouvés par notre fin de semaine (on a plus vingt ans) et assommés par la chaleur, on n’a pas fait grand-chose… Une petite balade le matin…

… Une petite séance de piscine le soir (on a toujours pas la piscine, donc la petite baignoire a repris du service) !

Ceci est une maigre sélection parmi des tas d’autres photos très chouettes (notamment une partie de foot !) mais bon, on va laisser les petites bistouquettes à l’air dans mon disque dur 😉

Mairie

Dimanche, Olivier et moi étions de bureau de vote, lui sur le créneau 13h-15h30 et moi sur le 15h30-18h. Pour moi, c’était la première fois (Olivier l’a fait la semaine dernière). Sur 169 inscrits, il y aura eu 90 votants dans la journée (plus que la moyenne nationale…), dont 10 sur mon créneau. Mais j’avais mon tricot.

Le dépouillement a été assez rapide, avec cela de notable qu’il y a eu 22 bulletins blanc et nuls (contre 2 seulement la semaine dernière) !

Après un petit coucou à Mounette, un p’tit oeuf à la maison, on a essayé de coucher les doudous tôt : échec ! Il faisait si chaud que Basile s’est endormi à 23h passées… Et c’est reparti pour une nouvelle semaine 🙂

Bisous !

En vrac et dans le désordre #4

Petite balade par temps irlandais

Avec arrêt ludique dans une très chouette flaque d’eau…

Selfie du matin

P’tit oeuf sur la terrasse

22h30. Un Basile insomniaque goûte au fenouil cru…

Les lunettes de Papa, toujours un succès

Les « silhouettes » réalisées à l’atelier des nounous !

Deux enfants sur le pot… On y arrive, tout doux…

Un bon anniversaire chez Ladurée !

Bébé du matin, bébé câlin !

On a testé : l’arrêt de bus de l’école 😉

Bisous

Les mots de Basile

Ayaaa !

Tadam, Basile commence lui aussi à « dire » ses premiers mots. Bon, il faut être vraiment attentif, et pas trop sourcilleux sur la prononciation, mais les voici en exclusivité, dans l’ordre chronologique d’apparition 🙂

Ayaaaa ! : allo (avec le téléphone à l’oreille, cf photo)

Na / né : non

Mama : maman

Tata : papa

Ada : Albert

Kiki : son copain de nounou Kylen, surnommé Kiki, donc.

Il essaie aussi de répéter après nous les mots, quand on regarde ensemble un imagier par exemple… On sent qu’il s’applique, mais c’est pas encore ça ^^

Bon en dehors de ça, Basile se fait aisément comprendre par une gestuelle assez sûre : il montre du doigt ce qu’il veut et repousse des deux mains ce qu’il ne veut pas. S’il veut aller dehors, il va chercher ses chaussures et nous les tend. S’il veut qu’on lui lise un livre, il va le chercher, nous grimpe dessus et nous donne le livre. Quand il veut faire un câlin, il vient vers nous et tend les bras (si on est debout) ou nous met des coups de tête (si on est allongés ou assis).

Rien de très exceptionnel finalement, mais je trouve toujours épatant la manière dont un petit être non doué de parole arrive aussi naturellement à se faire comprendre… Le tout en poussant des petites interjections interrogatives ou exclamatives. Nous on lui répond en parlant, tels Luke Skywalker à R2D2, ou Han Solo à Chewbacca… Basile promet en tout cas d’être au moins aussi pipelette qu’Albert (qu’on comparerait plutôt à C-3PO, présentement…) !

Bisouuus !

Au bois dormant

imageMercredi matin, 8h45. Tout le monde dort 🙂

Albert a fait un cauchemar cette nuit (des grenouilles), et au bout d’une heure de : « Encore une chanson… Y a pas de grenouille ?… Y a pas de hibou ?… J’ai de la fièvre (36,5°), j’ai mal aux dents / au ventre / à la tête / au cou (alouette) », j’ai cédé et l’ai ramené dans notre lit, où il a mis encore très longtemps à se rendormir (au petit matin, je dirais).

Olivier est sorti du lit avant le réveil pour préserver notre sommeil à Albert et moi, et comme toujours il a fait les biberons (cœur). Il est parti au boulot en mauvais état, le pauvre… Moi j’ai petit déjeuné, pris une douche et là Albert dort encore (ainsi que Basile, youhou). Je réchauffe les biberons.

Et dans la catégorie « dodo », ces petites photos ci-dessous datent de ce weekend. Olivier et Albert étaient sortis faire des courses et Basile à refusé de faire sa sieste du matin… Il a beaucoup joué dehors avec les petits cailloux, mais à midi, juste avant de lui faire prendre son repas, je l’ai retrouvé ainsi dans l’entrée 😉

Une fois recouché, il a dormi jusqu’à l’heure du goûter (et il a bien goûté) !

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Bisous et bon matin 😉

Et des souliers lilas la la

Albert et Basile ont leurs petits moments mignons à eux (quand ils ne se battent pas pour le même jouet, le même verre d’eau ou la même maman, s’entend), notamment ce rituel où Albert chante à Basile les chansons d’un de ses livres préférés (qu’il appelle « La Galette »), assis tous les deux dans le fauteuil de leur chambre.

Tout à l’heure, avec Albert on cherchait Basile qui ne faisait plus de bruit à l’étage (c’est toujours louche, ça), et on l’a trouvé calé dans le-dit fauteuil (justement déhoussé pour la journée, c’est pas joli, mais bon), le fameux livre dans ses mains. Ultra mignon. Albert a bien entendu rejoint son frère pour chanter, et j’ai bondi en bas attraper l’appareil et immortaliser l’instant (mais en vrai ça dure toujours un bon moment).

Bisous !

Les mots d’Albert #5

Encore une petite série, qui ne représente même pas le dixième de toutes les sorties d’Albert, mais on ne prend jamais le temps de noter, et la mémoire flanche…!

Anatomie

Dans mon ventre, il y a mon petit cœur rouge.

Météorologie

Oh, on a entendu l’éclair.

À Sainte Rita, patronne des causes désespérées

– T’as fait pipi ?

– Non !

– T’as fait caca ?

– Non !

– T’as fait quoi, alors ?

– Des carabistouilles !

La glace (et les dents sensibles)

Ah non c’est froid, il faut réchauffer la glace dans le micro-ondes.

Le sens du style

Elle sont belles mes petites bottes. Elles sont mignonnes.

Je veux pas les chaussures, je veux pas les sandales, je veux mes petites bottes.

À l’école, on va mettre une salopette.

Les cauchemars (la scène se déroule de nuit, avec Albert en pleurs dans son lit)

Nuit 1 : Il y a de l’herbe !

Nuit 2 : Il y a un hibou !

Nuit 3 : Il y a une araignée !

Mémoire auditive (oui je m’extasie, voilà.)

Albert chante tout seul. Les crocodiles, Petit escargot, Au clair de la Lune (« Ma chambre elle est morte, je n’ai plus de feu, ouvre-moi ta porte pour la dire Adieu »), Il court le furet, Vent frais vent du matin, Alouette (« Aaaaaah »), Coucou hibou, À la volette, et ce n’est qu’un faible échantillon : il connaît tout par cœur (et il chante juste, ouf)… On devrait plutôt lui chanter les tables de multiplications avant de dormir, en fait. Ou les verbes irréguliers en anglais, tiens, drink drank drunk, hop.

Pour les livres, idem. Albert adore qu’on lui relise toujours les mêmes livres mais depuis quelques temps il ne s’embête plus avec nous (Basile commence à avoir ses propres exigences en matière de lecture du soir, pas forcément au goût d’Albert), il les « lit » tout seul, à voix haute. Quand il ne de souvient plus du texte précis, il raconte de mémoire et c’est très inventif (espèce de pipelette).

Le sens de l’image

Les pâtes préférées d’Albert ? Les « pâtes chapeaux » (c’est de lui) ! Mais Olivier est parvenu à lui vendre également les « pâtes tuyaux« , héhé.

Voili voilà pour cette tournée, on va essayer de les noter, désormais, parce qu’on passe à côté de vraies perles !

Bisouuus !