Archives de catégorie : Les doudous

Petit tour en bord de mer

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Début mars, on a été voir Justine à Dunkerque, et participer au carnaval, à la bande de Malo ! C’était très chouette, on était nombreux, 15 adultes et 6 enfants, on a passé de supers moments.

Point d’orgue du week-end, dimanche matin, la préparation pour la bande (costumes, perruques, plumes, maquillage) et le défilé ! On avait choisi l’avant-bande, un peu plus détendue que la vraie bande de l’après-midi, et plus adaptée aux enfants. Enfants qui ont montré plus ou moins d’enthousiasme pour le concept de déguisement. Albert a refusé fermement toute plume sur sa petite personne blonde et digne, merci bien. Basile a hurlé quand il m’a vu avec ma perruque. Je me suis reportée sur un chapeau de paille emboaté. Pas de bol, il a plu alors que nous venions de rejoindre les carnavaleux, et tout le monde est rapidement rentré s’abriter, aussi j’ai peu de photos…

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Mais nous avons eu, à part ça, un super temps ! Albert a a-do-ré la plage, c’était dur de l’en faire partir. On a ramassé pleins de coquillages (dont le plus gros coquillage de la plage, évidemment), et Albert a pataugé dans les flaques à marée basse, et s’est retrouvé avec les bottes pleines d’eau. Que du bonheur !

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Vivement l’an prochain !

Les grands

Basile commence à manger tout seul ! Enfin, Olivier me fait remarquer qu’il nourrit surtout son bavoir (et le sol de la cuisine), mais je trouve qu’il est tout de même assez efficace compte-tenu de son jeune âge 😉

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Et en parlant de devenir grand, Albert adore la nouvelle activité du printemps : marcher sur les troncs d’arbre ! Même qu’il a tendance à partir tout seul (iiik !)…

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Bravo les doudous !

Il y a un an…

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… Basile arrivait dans nos vies ! Il a choisi son moment : le lendemain de l’anniversaire de Claire, une belle journée de mars (parfait pour faire des tours de l’hôpital à pied afin d’activer les contractions) ! Il aurait pu viser une autre nuit… La maternité de Meaux accueillait pas moins de 14 bébés cette nuit-là. Du coup on a attendu trèèèès longtemps le résultat des « tests » à l’issue desquels je pouvais enfin nourrir la bête. Toute petite bête qui a donc passé ses premières heures à pleurer de faim dans les bras de son papa. Bienvenue dans le monde réel, Néo !

Il était tout fort, tout trapu, tout brun de poil et de peau. Les yeux en amande. A deux jours, il a fait de l’acné du nourrisson, c’était super impressionnant (c’est vite passé).

A trois jours il avait rattrapé son poids de naissance, on rentrait à la maison.

A une semaine, il a commencé à pleurer de l’œil gauche (ça a duré jusqu’au débouchage du canal lacrymal, pour ses 6 mois… Ô combien de dosettes de sérum phy injectées… la planète ne nous remercie pas).

Les dix premières nuits, il restait collé à Maman, impossible de le poser dans son couffin. Il dormait son nez contre moi, complètement enfoui sous la couette : les risques qu’on a pris me font froid dans le dos aujourd’hui !

A deux mois, il a trouvé son pouce, qu’il n’a jamais quitté. Et « fait ses nuits ».

Et fait des sourires, aussi. Basile fait les plus beaux sourires de la terre. Il sourit avec toute l’amplitude de sa bouche, ce qui ne réussit pas à tout le monde (essayez un peu devant votre miroir).

A trois mois, j’ai retrouvé le chemin du travail et Basile a découvert sa nounou. A trois mois et une semaine, il acceptait enfin les biberons. A trois mois et deux semaines, on arrêtait l’allaitement avec soulagement. Basile n’a jamais tété que dans un seul sens : vers la gauche. Mystère jamais élucidé.

Basile nous impressionne par sa force physique et son énergie. Il bouge beaucoup, tout le temps. C’est le plus rapide marcheur à quatre pattes que je connaisse. Ses mouvements sont précis, « utiles ». Il a une très bonne appréhension de l’espace, du cheminement à faire pour attraper telle chose, par exemple. Il a une grande patience quand il joue, surtout s’il est tout seul, au calme. « Il sait ce qu’il fait », dit sa nounou. C’est comme s’il avait déjà un sens pratique bien développé (ce qui, étant donné son héritage maternel, relève de la prouesse génétique).

En contrepartie, il est super relou. I bouge aussi par exemple en mangeant : les pieds sur la chaise haute, les mains sur la tablette, des petites tractions, et hop, une cuillère dans la bouche… Faut bien viser. Dans le bain à force de gigoter, il a bu la tasse plusieurs fois, ce qui fait qu’il a eu peur du bain pendant quinze jour. Maintenant ça va mieux, et il a déjà re-bu la tasse une fois ou deux. Un guerrier, ce Basile.

Parfois, il refuse complètement de manger. Parfois, il mange deux ou trois laitages d’affilée après son plat.

Oh et il a les dents du bonheur. Je ne sais pas si ça compte, quand seules les incisives sont sorties mais mazette, cet écart entre les deux dents du haut !!

Bref, Basile a un an mais c’est toujours mon tout petit bébé.

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La patate à modeler

Mercredi, Albert a demandé à faire de la patate à modeler. D’habitude j’attends que Basile soit couché pour y jouer avec Albert, mais là on a tenté le coup… Basile a adoré, il a goûté évidemment (sans succès) et ils n’en ont pas mis partout ! Quelques photos floues.

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Les petites boules, c’était hyper pratique : je savais que j’en avais 8, et ils pouvaient les manipuler plus facilement que des gros morceaux « émiettables » !

Sinon, quelques photos de ces derniers jours…

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Coloriage chez Mounette !

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Pause en changeant les draps…

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La team’geot !

Bisouuuuus !

 

Les mots d’Albert #4

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La tendance « pipelette » se confirmant, j’ai encore noté tout pleins de mots d’Albert ces derniers temps (même si j’en retiens bien moins que je n’aimerais, j’ai la mémoire qui flanche). Ça commence à être drôle parce que maintenant on a de « vraies » conversations.

Précision zoologique (en lisant Roule Galette)

Pardon maman, mais c’est pas un loup, c’est un ours.

And so it begins (en lisant un imagier)

Papa c’est quoi un robot ?

La vie c’est plus marrant c’est moins désespérant en chantant (en changeant la couche)

Olivier : Tiens, des crottes de biquettes !

Albert : Ah tu sortiras biquette biquette, ah tu sortiras de ce choux-là… On envoya chercher le loup, afin de… Biqueeeette !

Mon fils, ce poète (un soir, entre chien et loup, ciel nuageux) :

– Oooh maman regarde le ciel bleu !

– Le ciel n’est pas bleu ce soir Albert. Il est de quelle couleur ?

– Il est violet.

– Je pense qu’il est plutôt gris.

– Non il est pas grillé, il est violet.

Apprentissage (très) progressif :

Jour 1 : « Maman, c’est une sorte de voiture » (« ça s’appelle une caravane, Albert »)

Jour 2 : « C’est une sorte de voiture de caravane » (« tu sais, une caravane c’est comme une petite maison accrochée à une voiture, dedans il y a un lit, une petite cuisine, une table »)

Jour 3 : « Maman c’est une caravane avec un lit et une petite cuisine. »

Jour 7 : « Oh un camion blanche. »

De l’art de détourner la conversation (en sortant de chez Samia) :

– C’était bien l’atelier d’éveil ?

– Oui, il y avait plein plein de petits enfants.

– Vous avez joué ?

– Oui.

– Tu as mis de la semoule dans tes cheveux ?

– Non.

– Samia m’a dit que vous vous étiez mis de la semoule dans les cheveux avec les autres enfants.

– Maman je saute dans l’escalier (joignant le geste à la parole).

De l’influence des blicolages Ikea (en lisant « La station service de Maurice »)

– C’est la voiture avec le moteur qui est cassé.

– Oui Albert, et le mécanicien, là, il répare la voiture.

– Il la répare avec des petites vis.

Prêt pour le feu de camp !

– Qu’est-ce qu’on chante maintenant ?

– Santiano !

C’est pratique, un frère

– On va au bain / s’habiller / changer la couche / mettre le manteau…

– D’abord Basile !

Graine d’agronome

– Oh regarde Albert, le champ, la terre est toute retournée, ils vont semer des graines et faire pousser du blé, ou des betteraves…

– et des ballots de paille !

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Bisous !

Prémices de printemps

Ce week-end Olivier a commencé à tronçonner les ex-poutres du grenier qui tapissent le jardin depuis trois ans (hem). Objectif : en faire des « bûches » exploitables par les amis, familles ou voisins disposant de poêles ou de cheminées – et donc, à termes, s’en débarrasser !

On craignait un peu la réaction d’Albert et de Basile, qui ont un léger problème avec les bruits. Ah, le nombre de siestes interrompues en pleurant parce qu’un voisin avait le malheur de jouer de la tronçonneuse/perceuse/machine quelconque à 50 ou 100 mètres de là… Mais cette fois, pas de souci. Basile a continué a dormir comme un bienheureux (c’était pendant sa sieste du matin) et Albert, qui était dehors avec nous, a longuement commenté l’opération en cours (en prononçant chaque fois « tronçonneuse » d’une façon différente) mais sans trop de frayeur. Il était d’ailleurs bien occupé avec sa brouette.

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Dimanche après-midi, Olivier terminait le rangement des tronçons, accompagné d’Albert. Je jouais avec Basile à l’intérieur, et puis Basile a eu vraiment envie d’aller voir son frère. Il s’est collé à la vitre en mode escargot. On est donc sortis, Basile dans sa tenue de Bibendum !

Oh, et puis on a aussi fait une petite balade et découvert les agneaux de l’année, ça y est ils sortent !

Enfin voilà, un week-end où on s’est pas mal aéré, ce qui a fait du bien à tout le monde ! Quelques petites photos complémentaires, parce qu’on a aussi fait un peu les fous dans la maison… (oui je viens de découvrir la fonction « galerie » du blog (il serait temps) et j’en abuse)

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Bon allez on assume le fourre-tout, j’en profite pour mettre une photo du blicolage d’il y a quinze jours (commode pour notre chambre hiii).

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C’est bientôt le printemps et on s’ébroue, il fait moins froid, il fait jour quand on part le matin, les perce-neige fleurissent, joie et bonheur dans nos cœurs.

Bisouuus !

« Un peu dur ! »

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« Un peu dur ! » c’est ce que dit Albert quand il s’essaye à un exercice difficile (grimper seul dans un siège auto, par exemple). Eh bien en ce moment, pour nous, c’est « un peu dur » ! Basile, qui avant s’endormait toujours sans aucun problème à 20 h (on le posait dans son lit et hop, pouce dans la bouche, il roulait sur le côté et s’endormait), s’est mis depuis quelques semaines à montrer quelques résistances au couchage.

On a essayé de l’intégrer au rituel de coucher d’Albert : lecture sur le lit de Papa et Maman, puis chansons dans son lit, puis dodo. Alors déjà, un Basile qui gigote dans tous les sens, attrape les livres, et demande une surveillance constante pour éviter qu’il ne tombe du lit, ça ne favorise pas la mise en condition pour le sommeil… Bon, qu’à cela ne tienne, on finit par coucher Albert, je lui chante ses chansons avec Basile (tout calme) dans les bras. Ensuite je couche Basile et quitte la chambre en croisant les doigts.

Le taux d’échec est d’environ 100%. Si on le laisse pleurer, il pleure *vraiment* longtemps (c’est un relou, Basile). Ce qui n’est pas chouette pour Albert qui, à l’occasion, repart de plus belle. Donc je récupère Basile et on se le coltine avec Olivier jusque 22h au mieux, minuit-1h au pire, il ne s’endort que dans les bras (et plutôt ceux d’Olivier).

C’est évidemment assez suboptimal, comme organisation (là on a pas encore fait la vaisselle/lessive/rangement, sans compter qu’Olivier retravaille toujours un peu le soir). En plus Albert, qui est pourtant plutôt facile le soir, commence à accuser le coup et à résister lui aussi au couchage (il devait tenir à son petit temps de lecture seul avec Papa et Maman). Du coup on essaye des schémas différents : se partager les doudous pour qu’ils aient chacun un petit temps « individuel » avant dodo (ne fonctionne pas – en tout cas on a pas eu de chance, parce que ce soir là il y avait des mouches dans la chambre d’Albert et que celui-ci pleurait de peur chaque fois qu’il en entendait une !), ou s’installer tous dans la chambre des doudous avec juste une petite veilleuse pour les emmener doucement vers le sommeil (ne fonctionne pas, Olivier a finit par aller endormir Basile dans ses bras, comme d’hab, dans une autre pièce).

Bref, on est un peu désarmés 🙂 En matière de sommeil, on a connu des hauts et des bas avec Albert donc je sais que ça va durer quelques semaines voire quelques mois, mais la gestion des deux relous en simultané est assez délicate ! (Bon en clair, il va falloir en passer par l’étape pas chouette de laisser pleurer Basile, j’avais détesté ça pour Albert, et j’appréhende !)

Hum, un long article qui m’a finalement pris plein de minutes (merci la pause déjeuner au boulot), pour expliquer que je n’ai pas encore eu le temps que relater ici tous les détails de notre très chouette weekend de travaux en amoureux, grâce au cadeau de Noël des Bandinelli !

Prochainement, sur vos écrans, donc.

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Breaking news : Basile fait du 4 pattes hiiii

Bisous !

En vrac et dans le désordre (je vide mon téléphone voilà)

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La galette

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7h35

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On a de « nouveaux » sachets de thé du mariage 🙂

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Ouf, ordi éteint.

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7h45

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Hey coucou !

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L’envers du décor (ouh la vilaine maman qui prend une photo).

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Séance pot

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Lecture…

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Lui debout.

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Ingestion de terreau dans 4, 3, 2, 1 seconde…

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Séance pot bis

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Le problème quand on a des invités japonais à son mariage (ah ça les origami ils savent faire hein…)

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Oh la belle baignoire

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Froid polaire

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Les beaux gosses

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Coquinou

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Salut c’est quoi ton p’tit nom ?

Recette de la soupe au ‘marron

[EDIT] Pour 4 personnes (2 adultes et 1 enfant et demi) :

  • 1 potimarron
  • 4 pommes de terre
  • 2 carottes
  • 2 oignons
  • 1 cc de sel
  • 1 cc de curry
  • une cocotte
  • une passoire
  • un mixeur peu bruyant
  • un peu de patience
  • deux marmitons enthousiastes.
  1. Choisir son moment : mercredi matin, enfants grognons. Albert qui réclame d’aller chez Mounette depuis plusieurs jours. On a dit qu’on y allait ce matin. Et convaincu le réticent de venir s’habiller car on n’allait pas chez Mounette en haut de pyjama et couche. On s’est habillé en douzième vitesse. On a habillé Basile dans le tas. Basile qui, d’ailleurs est fatigué et râle après sa sieste du matin. Le moment parfait pour le caser dans la poussette et faire une balade. Sauf que soudain, il pleut. Donc pas de balade chez Mounette. Basile déposé dans son parc (et miraculeusement tranquille), reste un Albert râleur à occuper. Avisant alors un potimarron au milieu des jouets (oui, la passion d’Albert pour les ‘marrons ne se dément pas), on propose de faire une soupe au potimarron. Enthousiasme d’Albert qui emporte le ‘marron dans la cuisine.
  2. Prévenir Albert qu’on va découper le potimarron. No problemo, il reste enthousiaste.
  3. Sortir le très gros couteau. Décuplement de l’enthousiasme. (Dexter, sort de ce corps)
  4. Découper le potimarron en deux. Vider le potimarron. Demander à Albert de tenir la poubelle ouverte pour jeter les graines.
  5. Découper le reste du potimarron et mettre les morceaux dans une passoire car on a oublié de le laver (c’est pas grave on rincera le tout et puis ça bouillera).
  6. Aller chercher quatre pommes de terre. « Ah, c’est bien », commente Albert. Peler les pommes de terre. Au fur et à mesure, les découper en quatre avec l’aide, précieuse et impatiente, d’Albert, et demander à Albert de les mettre dans la passoire.
  7. Réitérer l’opération poubelle.
  8. Aller chercher deux oignons. S’inspirer de l’exemple de la petite Anne et proposer à Albert de peler les oignons à la main. Gros succès.
  9. Aller chercher Basile qui râle. L’installer dans sa chaise haute avec quelques joujoux.
  10. Ramasser les joujoux, le sel, le gobelet et le poivre, que Basile a fait tomber.
  11. Aider Albert qui patine sur l’épluchage des oignons.
  12. Aller chercher deux carottes. En peler une. La découper avec Albert.
  13. Faire une photo parce que ce sera sympa sur le blog.
  14. Réaliser qu’on a oublié de mettre à Albert son petit tablier cousu par Dadie pour Noël. Réparer cet oubli.
  15. Ramasser l’autre carotte que Basile a fait tomber par terre. La peler et la découper avec Albert. Donner à Albert une rondelle de carotte.
  16. Faire une autre photo. Floue. Pas le temps.
  17. Mettre la cocotte sur le feu. Verser l’huile d’olive.
  18. Retirer les pelures d’oignon de la bouche de Basile.
  19. Dire à Albert, qui s’est mis à courir dans la cuisine, de faire attention aux épluchures d’oignons et de carottes que Basile a fait tomber.
  20. Jeter les oignons dans la cocotte, s’écarter car on a tardé et l’huile est bouillante.
  21. Rincer tous les légumes dans la passoire.
  22. Jeter les légumes dans la cocotte. Bien remuer. Ajouter du curry parce que c’est meilleur, en espérant que ça passera pour Basile.
  23. Ajouter de l’eau. Saler.
  24. Porter Albert qui veut saler lui aussi, et lui faire remuer le tout à la cuillère en bois. Constater qu’Albert rumine toujours sa rondelle de carotte.
  25. Le prévenir qu’il faudra mixer la soupe (aie). Fermer la cocotte.
  26. Laisser cuire une demi-heure. Ranger le chantier.
  27. Une fois tout le monde couché pour la sieste, fermer la porte de la cuisine et mixer la soupe en priant Morphée que cela ne réveille ni ne fasse hurler personne.
  28. Faire un thé, et écrire cet article, au lieu de travailler faire les soldes sur Internet.

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Bisous ! Bon mercredi !

Que 2017 vous soit douce et guillerette !

img_9121_1Un petit coucou de l’autre côté des fêtes ! Elles se sont bien passées pour nous 🙂 Noël fut partagé entre Mary, chez Dadie et Grand-Père, et Le Chesnay, chez Brigitte et Jean. S’en est suivi un séjour très sympa à Mary en compagnie de tous les cousins, dont Albert et Basile ont bien profité ! Au programme, de délicieux repas, des papotages et des cadeaux, un « escape game » à Reims pour les grands, une belle balade en forêt, des doudous un peu décalés pendant quelques jours à cause de la messe de minuit… Un super déjeuner chez Paulette et Gérard plus tard, on a finalement atterri chez nous vendredi (avec un petit coucou à Mounette), pour un nouvel an très tranquille à la maison, avec Chloé !

Petit bémol de fin de vacances, un retour inattendu de la vilaine gastro pour les doudous (Bonne année…) ! Le nouvel an a donc été très calme du point de vue des festivités, mais très animé en beberzades, basilooses et lessives variées ! Basile, d’ailleurs, n’a pas beaucoup vomi : il a juste décidé de ne plus se nourrir que de pom’potes et de boudoirs, en micro-quantités…

Albert et Basile ont été très gâtés à Noël : des extensions pour le circuit de train (qui va bientôt faire la moitié du salon), des duplos en pagaille, des livres (mention spéciale pour « Babar » et « Roule Galette »,  qui sont devenus des favoris du soir pour Albert et « Regarde comme je t’aime », qui est le premier livre à retenir l’attention de Basile), un p’tit bus rouge, des voitures et camions de pompier (clairement les cadeaux préférés d’Albert), des balles, puzzles, des blicolages, et une peluche Hobbes en crochet (accompagné de son pull rayé de Calvin) pour Albert !

Olivier et moi avons été également très gâtés, avec tout plein de choses pour nous et pour la maison, dont j’ai vraiment envie de démarrer la décoration cette année (allez on y croit) ! On a aussi bien profité de cette semaine de vacances ensemble, la première depuis qu’Olivier a commencé à travailler chez Teamto en juin… Pas très reposante, comme toute semaine de fin décembre qui se respecte, mais bien agréable quand-même.

Petit florilège des moments drôles et mignons de ces derniers jours 🙂

¤ Albert qui pousse Basile sur le « tour » (oui, Albert appelle cet engin le « tour », ce qui est peut-être mieux que « roule-roule », finalement), Basile mort de rire, et bien droit, bien décidé à ne pas tomber malgré les accélérations parfois soudaines d’Albert.

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¤Albert qui joue avec les instruments de musique de Papa et Maman.

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¤Pendant que Basile s’amuse et tire le cable de la guirlande lumineuse en louce-dé.

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¤ Albert qui essaie les chaussures de Maman.

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¤ Albert et ses cousins qui marchent dans les flaques gelées en écrasant bien la glace.

¤ Albert et ses cousins, tout court. (qui jouent, qui lisent, qui regardent une vidéo… trop trop chou !)

¤ Basile et Lucie qui jouent ensemble et rivalisent de mignonnerie, un soir à Mary, entre 22h et 23h, alors que tous les grands sont couchés et qu’ils ont enfin le salon (et l’attention) tout pour eux !

¤ Basile debout dans la salle de bain sur la pointe des pieds, accroché au rebord de la baignoire et qui regarde cette dernière se remplir en faisant des petites tractions, pendant que je le déshabille pour le bain.

¤ Albert qui répond « assurément » alors que je lui demande s’il a fait un beau dodo.

¤ Albert et Basile à l’heure de la sieste, chacun dans son lit, qui ne dorment pas du tout mais papotent en se faisant des sourires (en tout cas, j’imagine… J’ai fini par venir les chercher au bout d’un moment, et Albert m’a juste dit que « Basile crache », ce qui semblait le réjouir au plus haut point.)

¤ Albert fasciné par la lune qui joue à cache-cache avec les nuages. Ça lui a tenu un bon moment…

¤ Basile qui essaie sans relâche de se mettre debout avec les tables, les chaises, Maman (mignon, certes, mais fatiguant).

¤ Albert qui pour la première fois, n’a pas du tout pleuré chez le docteur et s’est laissé examiner avec une grande dignité (ouf).

¤ Albert qui fait du blicolage avec son papa (on ne s’en lasse pas) : merci les p’tits Rood !

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¤ Albert qui s’occupe de Doudou (on lui change sa couche, on l’habille, on lui met des gouttes dans les yeux…).

Voili voilà pour les nouvelles. Très belle année 2017 et à bientôt 😉

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