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Mais oui mais oui…

… L’école est finie ! Photos en vrac pour fêter les vacances d’Albert (nous ce sera en août), l’été, le programme de juillet-août (bien chargé mais avec des gens qu’on aime dans des endroits qu’on aime), les courgettes jaunes du jardin, les abeilles et les papillons, les soldes, les lessives qui sèchent dehors en une heure, les Bleus, la communion nationale (j’assume, y’a pas de mal à se faire du bien), le soleil, le thé glacé, la musique et l’amour. Bon les photos ne sont peut-être pas à la hauteur de tout ça, mais on y voit Albert et Basile, c’est ce que j’ai de mieux en stock 😉

Bisous et bon été !

On a fait les foins

Pour moi, c’était une grande première. Olivier avait un souvenir douloureux de sa dernière fois. Albert et Basile n’auraient pas du être de la partie, mais ils comme ils ne voulaient pas faire de sieste… J’ai préféré les emmener plutôt que de les laisser faire la lambada dans leur chambre tout l’après-midi…

Hier, on (enfin, surtout Olivier) a donc été donner un mini-coup de main à la famille Collard pour faire les foins. La presse étant cassée pour le moment, il n’y avait cependant pas énormément de ballot à rentrer… Peut-être un prochain tour dans la semaine, donc, en espérant que la pluie ne tombera pas entre-temps 🙂

Pas très rassurés pas le tracteur et la remorque, Albert et Basile nous ont suivi en draisienne…

La presse cassée

Bisous 🙂

Dans la forêt lointaine, on n’entend pas le coucou

Coucou, coucou…

Bref, mercredi on a été faire un tour en forêt avec Albert et Basile. Maintenant qu’ils sont tous les deux en draisienne, ce genre de balade est parfait pour les enfants comme pour les parents (pour peu que le chemin soit adapté et dignement doté en flaques d’eau – pas trop profondes). J’ai même pu faire des jolies photos (avec le vrai appareil, pour une fois).

Donc pendant toute la balade, Albert et Basile ont appelé, en vain, le coucou. « Coucou, tu es làààà ? » Je leur ai demandé s’ils savaient à quoi ressemblait un nid de coucou… Ce qui a donné lieu à un petit cours sur la manière (assez sans-gène, on est d’accord) dont les coucous squattaient le nid (et l’instinct maternel) des autres espèces d’oiseaux (ça n’a pas choqué les doudous… Ah, les jeunes…). On a entendu pleeeeeins d’oiseaux différents (comme je n’y connais rien en bruits d’oiseaux, on n’a pas été plus loin dans le cours de sciences naturelles), mais de coucou, point. Si de gentils lecteurs savent à quelle heure ou à quelle saison on entend le coucou, qu’ils n’hésitent pas à nous transmettre l’info en commentaire 🙂

Bisouuuuus !

Les pique-assiettes (ou piques-assiette ?)

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Rentrer du boulot.
Lancer une salade de pâtes.
Aller dans le jardin chercher de l’estragon.
S’attarder un peu pour voir comment tout pousse.
Retourner dans la cuisine et tomber sur une scène de pillage de pâtes (non-assaisonnées, donc) dans le saladier.

Et ci-dessous, la photo du mercredi matin : j’ai donné un petit bout de Kinder de Pâques à Albert et Basile, qui ont étalé leur couverture façon pique-nique dans le salon pour le manger… Quel art de vivre !

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Jeu de l’oie

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On s’initie aux jeux de société avec le jeu de l’oie (merci Adeline !!!), version « sans les cases piège » : on commence par la base…

Albert arrive bien, maintenant, à lire le chiffre du dé et avancer du bon nombre de cases. Basile sait lancer le dé et avancer son pion (dans le mauvais sens), c’est déjà une belle performance 🙂

Bisous !

À la borne à verre

Attendez, ça met un peu de temps à charger (en tout cas, chez moi c’est un peu long), mais Olivier a fait un magnifique gif de notre dernière virée à la borne à verre. On ne voit pas le détail, mais ce sont des pots de yaourt qu’on jette, pas des cadavres de bouteilles (pas cette fois en tout cas) 😉

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Il n’est jamais trop tôt…

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… Pour exploiter ses enfants !

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Bon à ma décharge, j’ai quand même bossé : je lui ai coupé une éponge en deux parce que le format standard est trop grand pour sa main, et j’ai enseigné les bases (on coupe l’eau ; on frottouille les tâches avec le côté vert ; mais pas dans la casserole malheureux, tu vas réveiller la colère du Dieu Tefal).
Il a réussi a faire deux assiettes et une casserole avant de se lasser et d’aller jouer avec Basile. C’est toujours ça de pris 😉

Soissons et ballons

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Ce matin on a été à Soissons acheter des chaussures pour Albert et Basile, qui sont repartis de là, nouvelles chaussures aux pieds (pointures 24 et 27, déjà, ça va si vite), avec chacun leur ancienne paire dans un petit sac à dos, plus un ballon ! (Il fallait au moins ça pour compenser le demi-rein que j’ai laissé au magasin…).

Tous fiers, ils étaient, dans les rues de Soissons (sauf les moments où ils se tapaient mutuellement la tête à coup de ballon en rigolant comme des baleines – « Il ne leur faut vraiment pas grand chose… » à commenté la boulangère, au lieu d’observer le silence contrit de celle à qui il ne reste plus de pain complet à 11h30 un mercredi).

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Bisous !

Les Schtroumpfs (à la chasse aux escargots)

Hier, on a fêté la première communion d’Adrien, un filleul d’Olivier. Après un excellent déjeuner au restaurant (où Albert et Basile ont fini par s’endormir sur les banquettes), nous sommes retournés sur le parking de l’église où était garée la voiture. On a laissé les enfants se dégourdir les jambes avant de reprendre la route, et j’ai fait des petites photos car ils sont beaux, les doudous en bleu (non ?). Ils ont joué aux voitures (évidemment) et cherché des escargots (évidemment).

Albert, le soir, m’a relaté avec ravissement ce mini-moment de la journée. Je n’ai plus ses mots exacts mais il semblait encore enchanté par cet endroit merveilleux près de l’église, où il y avait « une belle cachette » sous la haie d’arbustes et des escargots par dizaines.

Je n’aurai pas tout à fait retenu la même chose de cette journée-là ! Il y a eu le départ précipité d’Olivier à Paris à 5h30, pour sauver ses précieux serveurs d’une coupure de courant à son travail ; le trajet jusqu’à Colombes seule en voiture avec les deux doudous (Olivier nous y a rejoint) ; les fleurs dans les cheveux des communiantes – pas les garçons, dommage ! ; l’accent rigolo du prêtre équatorien ; les retrouvailles/rencontres avec une famille qu’on aime bien ; les jeux des enfants au restaurant avec Adrien et ses cousins ; Basile qui lit l’une après l’autre les lettres B-I-S-T-R-O-N-O-M-I-E ; le fabuleux merlan en croute d’amande sur lit de pousses d’épinards ; le sommeil sur banquette ; le retour tout schuss (les parisiens font le pont) avec Albert qui réclame la même musique qu’à l’aller (Sting and the Police, il a bon goût cet enfant)…

Albert, lui, il a retenu la cachette des escargots 😀

Bisous !