Petite balade, à la recherche de champignons, sauf que je n’y connais rien (ni en champignons, ni en coins à champignons) alors on les regarde et on les cherche dans le livre, mais jamais ô grand jamais on n’en rapporte ! Les garçons adorent, cependant, il y a un petit côté chasse au trésor.
On a en revanche ramassé des noisettes et cueilli des mûres. C’est un peu la fin de la saison… La campagne est belle et les doudous volontaires, même la petite endormie…
Basile mange le gras du poulet. Pur. Tout le gras, même le pas croustillant (qui êtes-vous jeune homme et avez-vous réellement passé neuf mois à l’intérieur de moi ?).
Quand elle dit quelque-chose d’important, Diane lève le doigt (en mode schtroumpf à lunettes).
Albert a lu le premier chapitre du livre « Le club des cinq (junior) et l’île mystérieuse ». Et le début du deuxième.
Au petit déjeuner, Albert a troqué les œufs sur le plat contre un pain au lait au jambon ET un pain au lait aux surimis. Basile et Diane petit-déjeunent toujours d’un biberon de banania.
Diane a peur des mouches. Et des bourdons. Et des poussières sombres (on sait jamais, des fois que ça serait une mouche).
Basile voudrait voir une photo de pus. Et une vidéo de bébé hippopotame. A l’école ils ont étudié les animaux de la savane et les animaux du désert.
Diane sait reconnaître la lettre « D » (Diane), la lettre « A » (A’bert) et la lettre « B » (Baside).
Basile a donné sa dernière myrtille à Diane parce qu’il n’y en avait plus et qu’elle était très triste, et son dernier bout de surimi à Albert parce qu’il n’y en avait plus et qu’il était très triste. Par contre il récupère le gras de poulet de tout le monde.
La classe d’Albert a remporté le deuxième prix du concours sur les produits du terroir de la région Hauts-de-France, catégorie « Livre animé », alors en juin ils iront visiter une ferme pédagogique du côté de Compiègne.
Diane aime les pruneaux, elle ne veut que ça en dessert, si elle met la main sur le paquet dans un moment d’inattention parentale, elle peut en manger 10 d’affilée.
Albert et Basile discutent entre eux et on ne comprend pas toujours tout. Ils rigolent comme des baleines. Des fois c’est à table, et on comprend pourquoi autrefois les enfants ne parlaient pas à table. Diane répète tout ce qu’ils disent, et essaie très fort de participer. Elle tente occasionnellement un « caca boudin » parce que ça a toujours son petit succès.
Basile dit que Léo est amoureux de Leia. Léo Fagot, pas Léo Parfait. Albert est agacé et il leur dit à tous, que « copain » et « amoureux », c’est pas la même chose.
Dans le bain, Diane s’amuse à se nettoyer avec le gant. Quand elle a fini, elle nettoie ses frères.
Albert a gagné le jeu de devinettes au Périscolaire. Il a eu un bonbon. Et le lendemain, il fallait trouver des mots avec le son « é ». Basile a dit « quai ». Albert a dit « onomatopée ».
Diane aime la lune, qui « vole dans le ciel » (comme le soleil, les nuages, et parfois, Joséphine). Elle a fait une « fusée » en legos. Mais ce n’est pas une fusée qui va dans l’espace : c’est une fusée de Coyote (dans « Bip-bip et Coyote »).
Basile grimpe sur les grumes et marche tout du long avec beaucoup d’équilibre, une graine de gymnaste.
Quand on va en forêt au Rond Capitaine, il ya toujours un moment où Diane tient à rappeler la fois où elle est tombée dans les feuilles et où, quand elle s’est relevée, elle avait une petite limace sur le doigt.
Albert construit et reconstruit de mille manières sa voiture Lego télécommandée qu’il a eu à Noël, ça fait bien longtemps qu’il s’est affranchi du modèle. Du coup il rencontre diverses problématiques de mécanique. Hier il ya eu une conversation sur les roues motrices avec Olivier à laquelle je n’ai rien compris et un énième projet de modification.
Diane joue à cache cache, ou plutôt elle imite les gens qui jouent à cache-cache. Elle se met contre un arbre, un mur, un poteau, elle compte (« 1, 2, 30, j’arriiiiive ! ») et elle va faire la même chose contre un autre poteau.
Dimanche après midi, à la faveur d’une non-sieste, on est allé à la Cave du diable…
À quelques kilomètres d’Ivors, c’est un super coin de forêt de pins, tapissé d’aiguilles et de gros rochers, propices aux aventures. D’après ce que j’ai compris, le lieu est nommé ainsi car il a été par le passé un repaire de bandits…
C’est plutôt joli sous le soleil hivernal et les enfants adorent y aller et vadrouiller de roche en roche.
En repartant chacun a trouvé un bâton à sa mesure, et duement sauté dans les flaques gelées pour faire craquer la glace. Et ce qui est cool avec les non-siestes, c’est qu’en revenant de balade on a encore le temps de faire des trucs (en l’occurrence, de la peinture avec Basile et un « Qui est-ce » avec Albert).
On est en train de se résoudre avec Olivier à dire adieu définitivement aux bonnes vieilles siestes de 3 heures des enfants (c’est déchirant). Albert et Basile n’en font quasiment plus, et Diane est une plus petite dormeuse que ses frères… Mais on se rend compte qu’ils sont tous capables d’être assez mignons et de jouer dans leur coin (plus ou moins calmement) pendant ces quelques heures de l’après midi… Et puis ça permet de profiter un peu de dehors quand le soleil se couche à 17 heures !
Longue pause de blog cet été, et pour rattraper ça et ne pas livrer aux oubliettes de nos mémoires ce drôle d’été covidé, je m’en vais trier les quelques 1500 photos réalisées sur la période et en sélectionner une par semaine depuis le dernier message. Mais avant, avant, un petit point « doudous ».
Diane cet été a pris 15 cm et quelques milliards de connexions synaptiques (le saviez-vous ? L’enfant possède un million de milliards de connexions synaptiques – il en crée 1000 par seconde dans ses premières années – dont il perd les deux tiers pour atteindre un petit 300 000 milliards de croisière à l’âge adulte… Triste, non ?). Elle dit de plus en plus de mots et c’est la raison principale de la rédaction de cet article, parce que la courbe de ses acquisitions de nouveaux mots cet été est carrément plus exponentielle que celle des cas de Covid dans les Bouches-du-Rhône.
Quelques exemples, dans le désordre chronologique et thématique.
Pa(a) : pâtes, ou pain, ou papillon, selon l’intonation
Cacala : chocolat
Pot : pot
Caca : caca, pipi, parties intimes
Bah : couche
Zaza, ou Jaja : sa poupée Joséphine
Bibi : son poupon
Dada : Dadie
Bazie : Basile
A’èè : Albert
Niène/Mamie : Hélène
Sseize : Chaise
D’eau : eau, tasse
Do (prononciation méridionale) : dort, dodo, lit
Bon : biberon
Avouaar : au revoir
Ma : merci (rare)
Saaa : chat
Vac : vache
Bête : mouche, insecte, tâche
Cavoux : cailloux
Tateur : tracteur, camion, voiture, etc…
Ca : canard
Co : coq, poule, mouette, oiseau en général
Dadin : jardin
Je passe sur les onomatopées qui lui permettent de parler du chien, du mouton, du cochon, du loup (aoooouh), de l’oiseau, de la souris (petits cris), etc..
Diane comprend plutôt bien tout ce qu’on fait et dit, elle réagit au quart de tour (elle nous apporte nos chaussures quand on parle de sortir, par exemple, mais on ne va peut-être pas encourager cette habitude qui a quand-même un coté canin assez marqué) (même sans ça, elle aime beaucoup les chaussures, elle les sort, elle joue avec, elle les enfile, très fière d’elle, c’est très rigolo). Elle se fait également très bien comprendre avec ses quelques mots, sa gestuelle, ses mimiques…
En dehors de ça, c’est une petite fille qui sait très bien ce qu’elle veut et surtout ce qu’elle ne veut pas. Elle n’aime rien tant que d’imiter tout ce qu’on fait. Littéralement tout. Elle observe, elle réplique, à sa manière, C’est plus ou moins heureux évidemment. Éventuellement elle garde l’idée pour plus tard, il faut toujours être aux aguets. En général donc, elle reste autour de moi, en particulier dans la cuisine qu’elle adore, en particulier l’évier (Mimi cracra, l’eau elle aime ça)… Elle est très pot de colle, mais si elle joue seule, il faut s’attendre à être surpris par ses idées saugrenues (celles qu’elle a gardé pour plus tard, justement). Une surveillance permanente serait de mise, mais comme c’est complexe en terme de mise en œuvre (on a quand-même une maison à faire tourner et, accessoirement, d’autres enfants), et bien pouf Diane a rempli la brouette de petits galets poussiéreux et elle fait le tour du salon avec. Ou alors pouf, elle est à l’évier et elle se coiffe avec le goupillon pour nettoyer les biberons.
Niveau pot… Elle y va volontiers, mais le demande uniquement en cas d’extrême urgence, complètement paniquée. Elle crie « cacaaa » et « pot » avec terreur, en se tenant la couche, en mode grenade dégoupillée, jusqu’à ce qu’on la pose dessus… Et ensuite il se passe en moyenne 5 bonnes minutes de jeu, lecture et piapiatages avant que « l’affaire » ne soit conclue.
Elle est très râleuse, vis-à-vis de nous mais surtout contre elle-même et les éléments, quand elle ne parvient pas à les maîtriser. Quand on la gronde pourtant, ce qui arrive plus qu’occasionnellement, elle fait un immense sourire jusqu’aux cervicales, et elle s’en va en ricanant. Autorité, zéro.
En un mot (ou plutôt deux), elle n’est pas facile facile.
Basile, Basile. Un peu flemmard, un peu roublard, toujours aussi vif et futé. Enthousiaste, charmant, joueur. Casanier, fan de coloriage et depuis peu, de peinture. Avec les quelques tubes d’acrylique qu’on a à la maison (on arrive au bout, d’ailleurs), il peint tout… Je lui avais fait une « maison » en carton pour ses souris (il est toujours fan de souris) et il l’a peinte entièrement. Actuellement Basile est très en manque de Maman, souvent très accaparée par Diane. Il le formule, et venant de Basile, ça veut dire beaucoup car il n’est pas du genre à faire montre de ses sentiments…
La Rentrée s’est passée sans trop de cahots, un peu dur les trois premiers jours avec petites larmes en montant dans le car, puis les jours suivants parce qu’il clamait haut et fort que c’était nul l’école et qu’il ne voulait pas y aller. Le fait de ne plus être avec Albert en journée l’a beaucoup perturbé et sans doute attristé, d’autant que Basile, on le sait, n’aime pas les nouveaux enfants. A présent ça roule, il va volontiers à l’école, et il semble y passer de bonnes journées. Il a trouvé son équilibre là-bas sans Albert. L’an dernier, d’après la maîtresse (avec qui on a beaucoup papoté au téléphone durant le confinement), il était très discret dans la classe, observateur, et plutôt travailleur. On va voir ce que ça donne cette année ! Lundi la maîtresse lui a montré une vidéo de lamentin, juste à lui, parce qu’ils avaient parlé de lamentins (pourquoi, mais pourquoi ?) et qu’il ne savait pas ce que c’était. Heureux, le Basile, à nous décrire un lamentin le soir à table, en mangeant son riz cantonais.
Albert grandit. Toujours à la fois sociable et angoissé, tête de linotte et Schtroumpf à lunettes, bavard, curieux et hypersensible, il commence à avoir des attitudes et des réactions de pré-pré-ado, tout droit venues de l’école ! On le sent plus mûr, plus affirmé, même si l’autonomie à la maison n’est pas encore au rendez-vous (que voulez-vous, c’est pas son truc…). Le bébé a laissé la place au garçon, vraiment, cette fois. Il faut dire qu’il est entré à l’école des grands, à Ivors ! Le CP semble lui convenir, même si « Tu vois Maman, le problème à l’école, c’est le travail. » Il nous parle surtout des récréations, durant lesquelles il semble vouloir absolument jouer au foot, ce qui s’avère compliqué car les trois ou quatre petits Mbappé de la cour « ne veulent pas lui donner le ballon » (comment dire…). Mais il persiste jour après jour (et finalement, pourquoi pas). Ça nous interroge un peu, à vrai dire, avec Olivier : entre ça et le vélo, on aurait pondu un sportif ? Nous ?
Chaque soir après l’école, c’est Anastasia, nounou et maman de sa copine Louise, qui récupère désormais Albert. Ils font les devoirs, le lundi et le jeudi soir. Le mardi et le vendredi, c’est plus cool, ils jouent (au foot…) avec Gabriel, l’aîné d’Anastasia qui est en CM1, ainsi qu’Arthur (grande section) et Victor (petite section), également en garde. J’appréhendais pas mal les devoirs, suite à l’épisode traumatique du confinement, mais ça reste très raisonnable, il n’y a que des petites leçons, récitations ou lectures (quand il n’oublie pas les cahiers..), et très rarement de l’écrit.
Albert et Basile sont moins fusionnels qu’à une époque, mais malgré un petit décalage occasionnel entre les envies de l’un et de l’autre (on a même parfois eu droit à des « je m’ennuie », ce qui n’arrivait jamais avant), ils se retrouvent tout de même sur un certain nombre de terrains (souvent ceux qui font dire aux parents « Les enfants on se calme, moins de bruit ! »)…
7-13 septembre :
Avec Diane ils sont tous les deux très adorables. Albert a toujours été fan des plus petits et Diane ne fait pas exception, il s’occupe bien d’elle. Basile aussi a ses petits moments mignons avec sa sœur. Même si Diane est encore clairement « la troisième roue du char » dans leurs jeux, même si elle est souvent collée à maman, on sent qu’en grandissant elle se taille une petite place de choix dans le trio.
Voilà pour les doudous ! Du côté des grands, eh bien rien d’extraordinaire en cette rentrée (mis à part les problématiques covidesques qui nous touchent tous) ! Côté pro, pas mal de travail. Et jusqu’à présent une projection dans l’avenir qui se limite au baptême de Diane. Événement qui, en soi, sera au final bien moins animé que ne l’aura été sa préparation, émaillée de diverses péripéties, mais on a quelque peu hâte d’être enfin de l’autre côté 🙂
M’enfin voilà, place au choix totalement arbitraire d’une photo hebdomadaire du 15 juin au 23 septembre 😀
15-21 juin : réception et montage-test de la tente !22-28 juin : balade en prairie29 juin-5 juillet : Barbecue chez Benjamin et Nanou6-12 juillet : week-end à Jalhay13-19 juillet : Grimpette en haut de la Grande tour en bois20-26 juillet : pause lecture avant d’aller au mariage de Chloé et Josselin27 juillet-2 août : Basile est chez Marraine Claire, et Albert nous prépare la salade composée.3-9 août : Albert est chez les P’tits Rood, j’emmène Basile et Diane au Parc de Géresme.10-16 août : Plage de Malo-les-Bains (croyez-le ou non, c’est la seule photo où on les voit tous les trois en même temps !)17-23 août : Anniversaire de Paulette aux Mougères, cochon rôti et belle tablée sous le chêne.24-30 août : Retour au calme avant la rentrée31 août-6 septembre : c’est la Rentrée !!7-13 septembre : Balade à la cave du Diable14-20 septembre : après-midi peinture…21-23 septembre : soirée « Maréchal-ferrant » à Ivors !
Voili voilà ! Allez c’est parti pour la suite. Plein d’amour, plein de joie, pleins d’anticorps, et des bisous de loin 🙂
Quelques photos du fameux lavoir d’Ivors, en passant !
Donc il y a un bassin bas, où on lavait le linge, et un bassin haut, où on le rinçait (dans une eau propre, donc, puisque l’eau arrive par en haut).
On a poursuivi la balade jusqu’à la source puis jusqu’en haut du petit chemin.
Ce week-end on a été bien chanceux. On a eu la visite samedi de Papy-Papa et Coco (mais je n’ai pas récupéré de photo) et dimanche celle (masquée) de Paulette, Gérard, Isabelle et Patrick, c’était très chouette !
Dimanche soir, les enfants ont attentivement écouté notre Raïs à nous, afin de savoir s’ils allaient bientôt pouvoir retourner au restaurant. Ils ont surtout beaucoup posé de questions sur le langage des signe, et appris que c’était fini la rigolade, école pour tout le monde à partir du 22 juin hop hop hop.
Et lundi matin, hop hop hop, tout le monde à l’école (non en vrai c’était déjà prévu ainsi pour eux, et ils étaient, de fait, super contents) (Merci Papy-Papa pour les tee-shirts méridionaux).
Coucou ! Et voilà encore une pleine cargaison de photos en super vrac ! Et le lien d’une jolie chanson de confinement, La Tendresse, vous avez du la voir passer sur les réseaux pas très sociaux, vous aussi, mais je la remets au cas où.
Note, moi je ne connaissais pas la version originale de Bourvil, Olivier m’a jugée. Mais bon, c’est tout on n’a pas le même background musical familial, moi j’ai écouté JJ GoldmanLes Indes galantes toute ma jeunesse voilà voilà.
Bon sinon, petite répartition du temps en confinement :
30% = télétravail
30% = dodo
40% = actualiser les news sur le téléphone
50% = relire avec Diane ses deux livres préférés ( « Les animaux mignons en photo » et « Regarde comme je t’aime » (le monde se divise donc en deux catégories : les volatiles, qui font « Co co co » et les mammifères, qui font « Beeeeh »)
40% = essayer de faire des choses en lego avec les garçons (mais je suis clairement moins bonne qu’Olivier)
10% = faire la continuité pédagogique avec Albert (pour Basile j’ai lâché l’affaire)
100% = dire aux garçons de s’habiller
10% = surveiller les petites plantations au jardin
90% = trouver des idées de menu
150% (ressenti) = nettoyer les trucs tombés au pied de la chaise haute de Diane
180% (ressenti) = empêcher Diane de manger les trucs qu’elle a fait tomber de sa chaise haute
100% (ressenti) = constater qu’elle a une coquillette d’avant-hier dans la bouche
80% = culpabiliser de ne pas plus profiter des enfants en ce moment unique
70% = culpabiliser de ne pas être plus efficace en télétravail
60% = culpabiliser de ne pas réussir à mieux entretenir la maison (ou au moins la cuisine) (ou au moins en-dessous de la chaise de Diane)
30% = se demander comment ça se passera après le 11 mai
200% = faire des câlins.
Je mate chez les voisins et j’adore ça…Où est ma brosse à dents ?Maaaais pourquoi il a le droit, lui ?Le plateau des « Aventuriers du rail » : idéal pour faire un double cours de géographie et de lecture (par contre c’est la carte de 1910, mine de rien il y a eu quelques menus changements par la suite) 🙂Ah oui, et au fait, Pâques !
Bisou à Joséphine
Re-bisou à Joséphine
On a migré la table à langer dans la chambre de Diane.Pancakes !
Coucou ! Point d’étape à J25 ! Avec pleins de photos après le blabla !
Sur le front Confinement
On tient, on tient 🙂 Plutôt aidés par un environnement favorable, il est vrai. Même si c’est casse-bonbon d’imprimer une attestation à chaque sortie (honnêtement on doit en imprimer deux ou trois par semaine maximum, c’est pas si pire !). Un peu comme tout le monde, on s’habitue. J’ai enfin trouvé le bon équilibre pour les courses (entre trop et pas assez) et accepté le fait que ce n’est pas parce qu’on est à la maison qu’on a plus de temps pour s’occuper de la maison, justement, et faire de la cuisine. De toute façon on n’a pas de visite alors l’état de la maison, bah…
C’est dur, c’est bizarre, c’est éprouvant, parce que les mauvaises nouvelles sont là, contrastant violemment avec la douceur de la vie confinée. On pense très très fort aux gens qu’on aime, on prie et on se lave les mains, parce que finalement que peut-on faire de mieux que de rester en bonne santé ? Drôle de guerre.
Ci-dessous un petit comic que m’a envoyé Olivier, désolée pour les non-anglophones…
source : https://xkcd.com/2287/
Sur le front Télétravail
Ça marche toujours pas mal pour Olivier qui travaille beaucoup, mais moi je n’ai pas encore récupéré mon accès à distance. Autant dire que du coup, il y a des moments où je ne peux pas faire grand-chose… Mais cela devrait revenir la semaine prochaine (vraiment, ce coup-ci), youhou !
Sur le front École à la maison
Il est de plus en plus difficile de faire travailler les enfants. La maîtresse m’a appelé aujourd’hui pour faire un point avant les vacances, et ça semble être le cas pour la plupart des élèves. Elle est en train de réfléchir à des solutions pour améliorer son système actuel, et la visio-conférence est dans les tuyaux pour les Grandes Sections 🙂
Bref de notre côté, on va tâcher de profiter des vacances tout en essayant de rattraper peu à peu le retard accumulé. Pour Albert, objectif : écrire deux ou trois mots par jour, histoire de ne pas perdre la main 😉
Sur le front Diane
Alors, je vais faire fuiter l’info à dessein, mais Diane n’est pas loin du tout de marcher !! Elle est capable de faire plusieurs pas d’affilée, à condition d’avoir une très bonne motivation à l’arrivée, comme une pâte de fruit, ou un chien (je suppose que ça marche aussi avec les chats, les chevaux, les pangolins… Diane adore les animaux).
Et sinon elle fait toujours autant de « bêtises », enfin, de son point de vue ce ne sont pas des bêtises, tout au plus de la découverte… Mais elle attrape tout, elle déplace tout, elle prend de plus en plus de risques dans les escaliers, elle est hyyyyper fatigante. Bah.
Allez, pleins de (jolies) photos
Cours de géographiePetit bain moussantMowgli en haut des escaliers, furieuse contre elle-même de ne pas réussir à se mettre debout et contre moi qui l’empêche de descendre les escaliers.Elle est floue mais je l’aime bien.Tiramisuuuu !Albert et son bateau (oui c’est un bateau, amarré au port).Séance de jardinageLe super jeu envoyé par la maîtresse : un excellent combo de jeu de l’oie, legos et calculMon pull pour Basile entamé il y a un an et terminé à la faveur du confinement !Trop grand, yes, on stocke pour cet hiver ! (j’avais peur qu’il ne puisse pas le porter !)Poirier en fleurs, abeilles au labeurAlors ça c’est hyper chou, cœur qui fond.
Bisouuuus ! Et bon week-end de Pâques. Amour et joie et patience et chocolats.
Et c’est parti pour la première semaine complète de confinement ! Elle démarre sous le soleil. Olivier travaille dans sa batcave. Avec les grands, on fait l’école à la maison. Basile fait ses tulipes en peinture à la fourchette. Albert fait un exercice sur les syllabes. Ensuite tout le monde file chez Hélène. J’envoie les travaux à la maîtresse par mail, puis je me mets au boulot. On déjeune dehors avec Olivier. L’après-midi, quelques photos de fleurs et un rapide article de blog. Travail. Puis je récupère les doudous. On reste dehors un bon moment à faire des petites plantations et zou, on rentre. Une soirée en douceur…
On couche tout le monde. Je démarre le cadeau d’anniversaire de Diane, spécial confinement : un petit gilet en tricot pour sa poupée Joséphine.
Mardi 24 mars
Petit heurts de bon matin. Albert travaille sur les chiffres, puis il fait la dictée-portrait d’un petit robot (« il a une tête carrée noire, des yeux carrés bleus, des oreilles en triangle vertes… »). Basile doit dessiner la pluie (des petits traits verticaux) mais n’est pas motivé et fait du bazar. Je m’énerve un peu. Olivier prend le relais. Plus tard, je demanderai par mail à la maîtresse s’il faut privilégier la routine (c’est l’heure, donc on travaille), ou le « quand on veut quand on peut », qui manque de cadre (mais qui est plus efficace, un enfant qui veut travailler va bien plus vite qu’un enfant pour qui « ça n’est pas le moment »). La maîtresse me répondra qu’il n’y a pas de meilleure solution (sans déc’ ?) mais nous donnera deux infos précieuses : d’une part, pour les élèves de petites sections comme Basile, les activités durent en moyenne 10 minutes. D’autre part, il y a des familles où on ne fait que certaines des activités, choisies par les parents et les enfants. Ooook, on va être plus cool à partir de maintenant.
Travail, déjeuner dehors. Travail.
En allant chercher les doudous, le soir, je trouve tout le monde en très grande forme dans le jardin d’Hélène.
On rentre à la maison. Enfin, je rentre, et les enfants veulent rester dehors. Comme il commence à faire frisquet, je ferme la porte. Mouahaha.
Petite soirée là aussi en douceur, poursuite du gilet de Joséphine pendant qu’Olivier fabrique des bougies, pour sauver nos arbres fruitiers du gel… Et zou, au lit !
Mercredi 25 mars
Aujourd’hui c’est mercredi, les enfants n’ont pas école (haha). Et surtout Maman n’a pas travail. Le matin, les enfants demandent à faire l’école (des bienfaits de la « routine » et/ou l’esprit de contradiction…). Ils travaillent très bien avec bonne volonté. Albert apprend la lettre « H » en cursives, et Basile fait l’exercice des courses (rapporter un nombre donné d’objets identiques).
A midi, déjeuner dehors. Il commence à faire plus frais. On met les bonnets !
Une bonne sieste l’après-midi ! Puis Diane continue ses apprentissage de petite fille de un an, sous les encouragements de ses frères. Leçon du jour, « comment s’asseoir sur une chaise ». Il y a des efforts manifestes, mais les fondamentaux ne sont pas acquis.
Ensuite on va goûter dehors.
On papote avec Émilie, ma voisine (et institutrice d’Ivors pour les CP-CE2), de part et d’autre du mur. Elle pense que le confinement durera jusqu’aux grandes vacances et elle fait travailler ses élèves comme s’ils ne revenaient pas à l’école avant septembre. Gloups.
Et la soirée suit son cours 🙂 L’atelier bougies prend de l’ampleur, Olivier ayant reçu d’Amazon de la cire et des mèches. C’est du sérieux. Les arbres seront bien chauffés.
Jeudi 26 mars
Patatra ! Un virus ransomware a attaqué le système informatique de la Communauté de communes. La journée démarre donc comme d’habitude (avec une très bonne séance de travail pour Albert, Basile n’ayant pas de devoirs ce jour) mais au moment de me mettre à travailler, en ouvrant les mails, je découvre que ce sera journée « chômage technique » !
J’en profite donc pour faire du ménage, beaucoup de ménage, la maison ayant un peu été abandonnée ces derniers temps (et la femme de ménage ne vient plus, pour des raisons évidentes…). Fond musical : Roméo et Juliette. Le confinement, ou comment se découvrir une envie soudaine de réécouter des comédies musicales des années 2000.
Le soir, bain, mini visio-conférence avec Nanou, Isabelle, Hélène, Paulette et Paul. Dîner-confinement (plébiscité par les enfants) : sardines à l’huile / baguettes maison / beurre. Coucher des nains. Je termine le gilet de Joséphine : et voilà au moins un petit cadeau à mettre au pied des bougies le 1er avril !
Vendredi 27 mars
Une journée un peu comme un mercredi, car la connexion à distance avec le travail ne fonctionne plus, donc toujours pas de travail pour moi… On fait donc un peu l’école avec les garçons, Hélène nous emmène Diane afin d’être plus tranquilles.
A midi, déjeuner à quatre, puis batcave pour Olivier, sieste pour les garçons, et courses hebdomadaires pour Maman : au programme un drive préparé par Olivier la veille (il y a tant de monde au drive qu’il faut s’y prendre la veille pour le lendemain, dorénavant), et un tour à la ferme de Mareuil pour les fruits et légumes.
Au drive, c’est encore moins convivial que d’habitude : on doit ouvrir son coffre et rester dans sa voiture pendant qu’ils y rangent les courses.. Logique mais fatigant je pense pour les employées… J’ai regretté mes 4 packs d’eau… Sur le chemin entre Villers-Cotterêts et Mareuil-sur-Ourcq, je passe à La Ferté-Milon devant cette maison qui me fait de l’œil, avec ses jolis volets. Ce n’est pas mon habitude de prendre les maisons en photo, mais après tout, celle-ci ne demande que ça.
A Mareuil, c’est très convivial en revanche : heureusement que la cour de la ferme est grande, parce que tout le monde fait la queue à deux mètres de distance pour entrer dans le magasin (pas plus de trois à la fois). Je croise ma voisine Angélique. Son fils Sacha joue avec le chien de la ferme, qui adore qu’on lui renvoie un ballon. C’est l’attraction n°1 de la file d’attente, d’ailleurs. Je croise aussi la maman de Jayan, dont je ne connais pas le nom. On échange sur l’école à la maison… Elle a eu l’intelligence de faire sa commande à l’avance et repart très vite : la semaine prochaine, on fera ça aussi !
Retour à la maison, rangement des courses, petite visio-conférence avec Isabelle, Nanou, Paulette, Hélène, Paul… Et oups, je me rends compte que j’ai oublié Diane chez Hélène ! Elle n’a pas l’air de m’en vouloir. Elle persévère à tenter de s’asseoir sur sa chaise.
Une petite visio-conf avec mon papa qui est sorti de l’hôpital, merci à tous ceux qui ont gentiment pris des nouvelles si régulièrement !!
Le soir, après avoir couché tout le monde, je vérifie les mails du boulot au cas où… Oulala, les collègues commencent à poser des questions sur leur situation actuelle, leur rémunération, leurs congés… Et ça tombe bien, d’après Internet, les directives gouvernementales commencent doucement à être transposées à la fonction publique (il était temps). Du grain à moudre pour le week-end et le début de la semaine suivante… What a time pour travailler dans les RH !
Samedi 28 mars
Ça y est c’est le week-end ! On s’imprime une petite attestation et hop, un tour dehors (dans la limite d’une heure et d’1 km de chez nous, bien entendu !)
Ensuite, on rentre, un peu de travail pour les enfants, puis déjeuner !
L’après-midi, sieste pour les enfants et un peu de travail pour les grands. Puis pour ma part, je poursuis le tricot du pull de Basile entamé il y a plus d’un an ! Heureusement que c’était du grand 4 ans 😉 Mon projet : l’avoir terminé d’ici le week-end suivant. Il reste une manche et demi, ainsi que les coutures et le col.
Le soir, encore une petite visio-conf Simonot puis un petit risotto champignons, que Diane dévore à pleins mains, aïe !
Le soir, une fois les doudous couchés, on se culturise avec le film « J’accuse » qu’Olivier a récupéré. Il est rare que nous ayons le temps pour un long-métrage… Celui-ci, hors scandales zé polémiques, fait très bien le job.
Dimanche 29 mars
Youhou ! C’est l’anniversaire du petit Léonard Caute-Clavet aujourd’hui !
Petite matinée très très tranquille. Je me réveille tard avec le changement d’heure, et Olivier a pourvu au déjeuner : rôti de porc fumé, ça fleure bon 🙂
Une fois les enfants à la sieste, je me remets à mon tricot, et Olivier se lance dans la confection de chouquettes pour le goûter, entre deux séances de sport avec son casque VR (non non, pas de photo, j’étais trop occupée à tricoter) !
Ensuite avec Basile on a fait à nouveau des baguettes pour le soir : malgré un résultat après cuisson un peu décevant (croûte pas très belle), elles auront un poil plus de succès que la soupe de lentilles à l’indienne…
Petite visio-conférence avec Agnès, et avec Grand-Père. Petit dessin-animé pour les enfants (qui sont actuellement adeptes de Tom & Jerry et autres Bip-bip et Coyote) avant le dîner…
Le soir, nouveau film en amoureux (on ne nous arrête plus) que je recommande chaudement : « Jojo Rabbit« .
Et voilà une nouvelle semaine de passée ! Dodo, et on se prépare pour la troisième 🙂
(Désolée pour le blabla, on a tous notre manière de gérer le stress, vous pouvez aller direct aux photos parce que ouh la la il y a du mignon.)
Clairement, on n’était pas prêts. En tant qu’individus, je veux dire. En tant que société, il me semble qu’en dépit des valses-hésitations gouvernementales, et du manque criant de masques (mais qui aurait pu prévoir ? On s’en souvient, n’est-ce pas, des moqueries à l’égard de Roselyne Bachelot et de ses millions de masques inutiles contre la grippe A, il y a 10 ans ?), en tant que société, globalement il y a du répondant. Ça tient, à grand coups de Plans Blancs, d’ENT, de visio-conférences, de Netflix et de dette publique qui va encore se creuser mais pour une fois on s’en fout (à force de creuser on va finir par se retrouver en Chine, ça ne va arranger personne).
Ça tient parce qu’il y a les héros, les héroïnes : les aide-soignantes, les médecins, les ambulancières, les infirmières, chaque jour au front les dents serrées et chaque nuit la boule au ventre à l’idée que cette saleté virus ne rende leurs enfants orphelins. Ça tient malgré les inconscients qui se pensent invincibles et qui contribuent à faire circuler le virus, ceux qui mettent en défaut la théorie de l’évolution plus efficacement que tous les prédicateurs créationnistes réunis.
Et il y a l’immense majorité, qui reste à la maison et qui (en tout cas en ce qui me concerne) a le temps de se regarder le nombril en se disant qu’ils n’étaient pas prêts. C’est vrai, quand on grandit dans les années 80, qu’on a vu s’effondrer l’URSS et qu’on a comme unique inquiétude (récente, en plus) la perspective floue du réchauffement climatique, ça fait bizarre soudain de craindre pour la vie de ses proches, et surtout de ne pas pouvoir les embrasser une dernière fois si le pire devait arriver, puisqu’on en est même à devoir imprimer une attestation pour aller acheter de l’huile d’olive (je dis ça parce qu’on n’en a bientôt plus, et franchement c’est la plaie).
On lisait ce matin avec Olivier des articles sur la grippe espagnole en 1918-1919. Des dizaines de millions de morts dans le monde, mais aucune mesure particulière n’avait été prise à l’époque par des gouvernements qui n’étaient plus à ça près à l’issue de 4 ans de guerre mondiale. Et la presse censurée, qui ne parlait pas de cette maladie si ce n’est pour dire qu’elle faisait plus de victimes parmi les boches que parmi nos braves poilus… Au moins aujourd’hui la presse nous fait état du compte de victimes heure par heure, yay.
Mais voilà justement, le Covid19 nous jette tous dans les tourments de cette histoire dont on pensait s’être affranchis, qu’on pensait ne jamais vivre (presque avec regret, pour l’adolescente que j’ai été). On a tous entendu le fameux : « Ce qu’il leur faudrait aux jeunes, c’est une bonne guerre ! ». Et ben là, d’une certaine manière on y est (c’est le président qui l’a dit), même si on a le temps de jardiner avec les enfants, de faire des gâteaux et des challenges sportifs, de s’envoyer des photos rigolotes sur smartphone et de raconter sa vie sur Internet…
Et je sais pas ce qu’on en fera, de tout ça.
Mais par contre j’ai pleins de photos 🙂
L’anniversaire de Basile (dernière petite réunion de famille avant le confinement)…
Et la veille, aussi :
Une petite balade à la tour du Général Mangin (idem, avant le confinement).
Diane a eu 11 mois au fait !
Diane et sa poupée Joséphine, Merci Chloé !
Les activités du confinement. L’école à la maison…
Bonjouuur 🙂 Ici Ivors. Alors, petit point Coronavirus : on va tous bien, les enfants n’ont pas d’école depuis une semaine, et de mon côté, je reste à la maison à compter d’aujourd’hui. Olivier est actuellement à son boulot à Paris pour mettre en place le télétravail de toute sa boîte, mais c’est probablement son dernier jour avant longtemps…
Aujourd’hui c’est un peu le chaos. Diane a fait la java toute la nuit, elle avait sans doute une dent qui la grattait. Moi qui avais prévu d’être hyper efficace ce matin pour sortir en balade assez tôt, faire travailler les grands en fin de matinée pendant la sieste de Diane, puis mettre tout le monde à la sieste pour pouvoir travailler l’après-midi, c’est raté. Enfin, le fait est qu’actuellement tout le monde dort, mais que je ne sais absolument pas par quel bout prendre le télétravail, n’ayant pas reçu d’instructions sur ce qu’il va se passer dans les jours à venir (fermeture totale ou non ?)… J’attends un appel…
Bon bon, confiné pour confiné, j’ai pleins (vraiment pleins) de photos à partager, triées au cours des derniers jours… donc go !
Pendant les vacances d’hiver, nous avons emmené les enfants à l’exposition « Concept Car, beauté pure », organisée au Château de Compiègne. Ils ont adoré. Nous y avons été avec Dadie, Grand-Père, Claire, Éléonore et Léopold. Les enfants étaient tellement surexcités qu’il a été difficile de les faire s’arrêter pour la photo. Nous n’avons pas vu toute l’exposition permamente (qui comporte de nombreuses voitures à cheval très anciennes, mais la partie « moderne » était plus au goût des enfants !
Il y a quelques semaines, un mercredi matin, on a fait une chouette balade avec les enfants. C’est peu fréquent ces derniers temps car souvent, le mercredi, nous avons du mal à démarrer le matin : les grands jouent bien tous les deux, je fais des choses dans la maison, Diane redort en fin de matinée… Il n’est pas rare que l’on déjeune encore en pyjama ! Alors cette petite balade annonciatrice de printemps et d’une vie un peu plus en extérieur, nous l’avons savourée !
Olivier m’a offert un nouvel objectif pour mon appareil photo à mon anniversaire. Alors pour m’entraîner j’ai pris plus le temps de faire des photos des enfants dans leurs jeux quotidiens…
Ils jouent bien, mais parfois, c’est moins harmonieux… Et j’entends souvent crier « Diaaaaaaaaneuh noooon ! ». Pauvre Dianouchette qui ne veut que jouer aux mêmes jeux que ses frères, et qui se voit régulièrement chassée de la « zone à risque » !
Bon, à leur décharge, Diane, c’est aussi ça :
Il y a quand-même des tas de moments mignons…
Ah oui, et aussi, Diane et le robot Edgar ont commencé à fraterniser.
» Et donc toi, pour les mouches, tu fais comment ?
– Alors moi, je les mange.
– Ah ouais moi aussi… »
Oh, et pius nous avons également passé deux jours à Paris, chez Mamie Made ! Au programme, train, Parc Montceau, Jardin d’acclimatation, marché avec Mamie, goûter avec Brigitte et Capucine, déjeuner chez les Panthou… Un grand merci à Mamie pour son accueil toujours adorable, la garde de Diane pendant nos balades et les bons moments passés ensemble.
Voilà voilà, je crois avoir tout intégré !!
Et bien sûr, vendredi (et samedi) nous avons fêté l’anniversaire de Basile ! Cela fera l’objet d’un nouveau post car je n’ai pas encore traité les photos 🙂
Bisous et bon confinement à tous ! Prenez soin de vous et mangez des pâtes.