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On a testé pour vous (pleins de trucs)…

On arrive au bout du mois d’août sans l’avoir vu passer… Mais on a fait pleins de choses en réalité… Avec plus ou moins de succès ! (attention, long message avec plein de texte et pas assez de photos)

Le soufflé de bougies / Albert / Approuvé

Albert a eu trois ans ! Il a magnifiquement soufflé ses bougies, au fil de cinq fêtes d’anniversaire successives : le jour-même en famille (brownie), puis chez Dadie et Grand-père (tarte aux prunes, bougies co-soufflées avec Dadie), puis chez Anthony à l’occasion de sa pendaison de crémaillère (il y avait pleins de gâteaux, je ne sais plus lequel a accueilli les bougies), puis à la maison pour un open-goûter (cheesecake) et enfin chez Véro et Mika (framboisier, bougies co-soufflées avec Lucie) !

Albert a été hyper gâté, évidemment, merci à Dadie pour les motos, Isabelle pour les crocs et le sac à dos, Paulette et Gérard pour le livre de chevet, Nanou et Benjamin pour la dînette, Jean-Guillaume pour la caserne de pompiers, Antoine, Maxence et Mounette pour le train, Hélène pour le livre et les magnets, Véro et Mika pour les bols bretons !

Le sapin de Noël / Albert, Basile et Olivier / Approuvé

Chez Anthony, Albert, Basile et Olivier ont joué avec les (grands) cousins dans l’araignée (baptisée par Albert le « sapin de Noël ») : gros succès !

Le pique-nique / Tout le monde / Approuvé

Pour démarrer les vacances, on a fait un super pique-nique avec Hélène, Raphaël, Inès, Antoine et Maxence ! Grande première pour les doudous 🙂

Les escargots / Albert / Approuvé

Albert a découvert une nouvelle facette de ses amis les escargots : la culinaire ! Et il a bien aimé 😉

La vaseline dans les cheveux / Albert et Basile / Non approuvé

On a tenté de remédier au petit problème de croûtes de lait de ces enfants, histoire de faire la part des choses avec les piqûres d’aoûtats, vu qu’ils se grattaient tout le temps (et comme Basile avait pris l’habitude de se gratter la tête avec sa fourchette pendant les repas, c’était plus possible…). La solution universellement reconnue c’est « mets de l’huile » (enfin, du gras) (idéalement de la vaseline), laisse reposer une nuit, lave.

Bilan : une lessive de draps et taies d’oreiller, un crâne tout rougi (Basile), quelques croûtes de lait résistantes, et pas moins de quatre shampoings pour débarrasser les cheveux de la vaseline, ce charmant produit composé, ai-je réalisé, de 100% de pétrole. Avec deux enfants qui redoutent le shampoings plus encore que le mouchage de nez et le gratin de blettes réunis, ce fut sportif. On ne recommencera pas de sitôt, ou alors on leur fera une coupe en brosse avant.

La propreté continence / Albert / Approuvé

C’était la grosse angoisse de ces derniers mois. Mais globalement, il a suffi de trois semaines tranquillou avec nous, d’ôter les couches pour de bon, d’un paquet de gommettes et de quelques incidents, pour qu’Albert passe cette nouvelle étape vers l’autonomie 🙂

Maintenant qu’on est de l’autre côté, je comprend mieux tous ces gens qui disaient avec ce petit sourire si frustrant « oh t’en fais, ça va venir, bien sûr qu’il sera propre pour l’école ». On croise les doigts, les mollets et les cheveux, pour que ça fonctionne bien à l’école, maintenant…!

Le tracteur / Albert et Basile / En cours d’approbation

Nous avons passé quelques jour à Jalhay chez Véro et Mika, l’occasion pour Albert de grimper sur le tracteur (woot woot !) et même de conduire (un peu) ! Bon, Albert a bien aimé mais Basile a eu un peu peur de cette grosse machine qui fait du bruit (c’est pourtant si joli en dessin, ou de loin dans les champs !).

Le camion-kangourou / Albert et Basile / Approuvé

Le camion en revanche, Albert et Basile ont bien aimé ! On était six sur les deux sièges (Mika au volant, moi à côté, et Anne, François, Albert et Basile répartis sur nos genoux). Le camion est dit « kangourou » parce qu’il rebondit pas mal. D’après Mika, c’est moi qui ai le plus crié dans les cahots. Voilà voilà.

Les veaux, vaches, cochons, couvées / Albert et Basile / En cours d’approbation

Chez Véro et Mika, on a vu pleins d’animaux ! Basile a beaucoup aimé les poules (« coco »), les lapins (« apin »), un peu moins les moutons (il en a toujours eu peur, je ne sais pas pourquoi). Albert a adoré aller chercher les œufs dans le poulailler (même si il a beaucoup râlé pour tenir les œufs et qu’il en a fait tomber un, scrogneugneu), il a dit « oh, un raton-laveur » en voyant Papelote, le cochon laineux, il a dit « mais je ne peux pas la toucher, elle risque de m’accrocher » devant une vache Highland assez cornue (un mâle, en fait !), et il est entré dans l’enclos des moutons mais avec un peu d’appréhension. Concernant l’oie, j’observerai un silence pudique, car certes les enfants ont semblé un peu sur leurs gardes, mais je n’étais pas très très rassurée non plus 😀

On a aussi eu la chance d’aller voir des petits veaux, et la traite des vaches en plein champ. Moi j’ai bien aimé, je ne sais pas ce qu’en auront retenu Albert et Basile, mais ce n’est pas quelque-chose qu’ils auront l’occasion de voir beaucoup chez nous !

Le dépeçage de lapin / Olivier / Approuvé

Olivier a réappris avec Mika à dépecer et vider un lapin. On était presque tentés d’en élever à la maison un jour, mais  au cours d’un papotage récent avec deux de nos voisines, on a appris qu’elles ont toutes deux des lapins de compagnie, aussi chouchoutés qu’attachants, semble-t-il (en tout cas ils nourrissent bien la conversation). Du coup on s’interroge sur la pertinence d’installer des clapiers à lapin dans le jardin…

Les haricots verts / Albert et Basile / Approuvé

Chez les cousins, on mange très bien, et Albert et Basile ont même terminé leur assiette de haricots verts (Alléluia), grâce à une super technique de Véro : commencer par chercher, et manger, les « bébés » dans les haricots. Ça a fort bien marché, et il faut que j’essaye ça chez nous !

Le restaurant / Tout le monde / Approuvé

Jusqu’à présent on n’avait pas trop emmené Albert et Basile au restaurant, mais cette soirée avec petits et grands Rood à la Pêcherie s’est super bien passée ! Basile a fait un peu de bruit au début, mais après avoir pas mal boudé son repas (à part les frites, mais qui n’a pas dévoré de frites ce soir-là ?) il a fini par s’enfiler, tout seul sans bruit et avec sa petite cuillère, une boule de glace vanille à la chantilly. Albert, de son côté, s’est essayé avec succès au cône, en ne se plaignant presque pas que c’était trop froid et qu’il fallait réchauffer la glace.

Le changement de roue en plein village ardennais / Olivier / Approuvé pour cette fois

Sur le chemin du retour, on a quitté par mégarde l’autoroute et, en voulant y retourner, on a tapé un rebord de rond-point. Résultat, changement de roue au milieu du village voisin, qu’Olivier a géré de main de maître tandis que je canalisais les doudous en faisant la conversation à deux petites dames du village venues contempler l’opération.

Le sanglier de Woinic / Albert et Basile / En cours

Pour se remettre de nos émotions on a dîné de chips à la station essence de Woinic, celle du « plus grand sanglier du monde » ! On a été voir le-dit sanglier de plus près, pour fatiguer un peu les enfants. Albert n’était pas rassuré par cette grande bête-là, mais on lui a fait des chatouilles au ventre en passant en-dessous.

Les balades à vélo / Olivier, Alice, Albert et Basile /  Approuvé

On poursuit les balades à vélo, Albert avec Olivier et Basile avec moi. C’est encore un peu hésitant de mon côté, mais à condition de rester sur de la route, je gère 😉 Dernière en date : un petit tour jusqu’à un spot à mûres que l’on avait repéré ! Arrivés là, il s’est avéré compliqué de cueillir des mûres avec Albert et Basile dans les pattes, mais on a quand-même trouvé de quoi fait trois mini-pots de confiture, ainsi que cinq énormes escargots, une multitude de limaces (tout ça est resté dans la forêt), un cours sur les chênes et les glands, et zéro tique.

Et en parlant de vélo, Olivier a posé sa voiture au garage à Crépy-en-Valois, et en est revenu (seul) en vélo, une bonne balade de 45 minutes tout de même !

La cueillette de champignons / Albert / Approuvé

Avec Dadie, qui a gardé les enfants cette semaine, Albert a appris à ramasser les champignons, ou tout au moins les bolets. Et il a l’œil 😉

Voilà voilà ! Désolée, j’avais prévenu : trop de blabla, pas assez de photos, on a pas assez pris le temps d’en faire ! Bon, une dernière pour la peine, parce que je l’adore, et qu’elle permet de conclure en toute majesté cet article bric-à-brac 🙂

Bisous majestueux !

Petit tour en bord de mer

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Début mars, on a été voir Justine à Dunkerque, et participer au carnaval, à la bande de Malo ! C’était très chouette, on était nombreux, 15 adultes et 6 enfants, on a passé de supers moments.

Point d’orgue du week-end, dimanche matin, la préparation pour la bande (costumes, perruques, plumes, maquillage) et le défilé ! On avait choisi l’avant-bande, un peu plus détendue que la vraie bande de l’après-midi, et plus adaptée aux enfants. Enfants qui ont montré plus ou moins d’enthousiasme pour le concept de déguisement. Albert a refusé fermement toute plume sur sa petite personne blonde et digne, merci bien. Basile a hurlé quand il m’a vu avec ma perruque. Je me suis reportée sur un chapeau de paille emboaté. Pas de bol, il a plu alors que nous venions de rejoindre les carnavaleux, et tout le monde est rapidement rentré s’abriter, aussi j’ai peu de photos…

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Mais nous avons eu, à part ça, un super temps ! Albert a a-do-ré la plage, c’était dur de l’en faire partir. On a ramassé pleins de coquillages (dont le plus gros coquillage de la plage, évidemment), et Albert a pataugé dans les flaques à marée basse, et s’est retrouvé avec les bottes pleines d’eau. Que du bonheur !

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Vivement l’an prochain !

Un week-end dans le Cotentin

Fin octobre, nous nous sommes rendus avec Olivier, Albert et Basile dans la maison de Michel, à Saint-Vaast-la-Hougue. On appréhendait un peu, suite à une première expérience de triste mémoire (dont le très célèbre épisode « Albert a vomi au restaurant », qui n’est pas relaté dans l’article lié ci-dessus mais ce fut épique).

Globalement, nos doudous nous ont épaté : ils ont été super cool en voiture, malgré de longs trajets (cinq heures de route sans compter les pauses). A l’aller, on a testé l’aire d’autoroute blindée (on ne s’arrêtera plus jamais déjeuner sur une aire d’autoroute à 13h, un samedi de vacances scolaires). Fort heureusement, après avoir fait la queue pour manger, pour réchauffer la purée de Basile, pour aller aux toilettes, pour acheter une bouteille d’eau, on a pu défouler un peu Albert sur un chouette toboggan placé là par quelque angélique aménageur autoroutier.

En fin de trajet, Basile a commencé à râler un peu beaucoup, il avait faim et malgré nos ruses de sioux, son horloge interne hurlait « goûter ». On était déjà dans le Cotentin, les panneaux indiquaient les plages du débarquement, on s’est arrêté à Utah Beach : Basile y a apprécié sa compote, puis il a grimpé dans l’écharpe et nous avons rejoint Albert et Olivier qui sautaient dans les flaques.

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Une paire de chaussures bousillée plus tard, on est repartis pour Saint-Vaast-la-Hougue, en longeant les plages.

On s’est posés dans la chouette et douillette maison de Michel, où on a passé de supers moments ! Cela nous a fait oublier la petite chambre d’hôtel où Albert avait été si malade la dernière fois…

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En arrière plan de la photo ci-dessus, la maison !

A la faveur d’une météo superbe, on a fait de supers balades, sur le port, dans le bourg (je recommande l’épicerie Gosselin, croisement entre Harrods, la Grande Épicerie de Paris et le Chemin de Traverse), à la plage voisine de Jonville (où Albert est tombé dans l’eau, on n’y est pas restés longtemps !), et vers La Hougue, une très jolie promenade le long des vagues…

Quelques photos d’un épisode mignon : Albert qui a trouvé une coccinelle !

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Et puis, sur le chemin de la Hougue, un toboggan gigantesque (du point de vue d’Albert), et l’aire de jeu qui va avec… On a tous bien apprécié, ça lui a fait complètement oublier la mer voisine (je ne savais plus quoi faire pour l’empêcher de courir dans l’eau) !

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img_8062_1 img_8057_1 img_8029_1 img_8047_1 img_8056_1 img_8068_1 Et voili : après cette fantastique balade suivie d’un bon déjeuner, on est rentrés des embruns pleins les narines. Le trajet retour fut également assez long mais les doudous étaient fatigués : même s’ils n’ont pas dormi tout du long (loin de là), ils sont restés super mignons. On les remmènera, tiens.

Et voilàà ! Deux articles en trois jours, pfiou ! Mais on avait pleins de choses à raconter, aussi 🙂 Bisous !

Summertime

Que d’aventures estivales en ce joli mois d’août ! Et tout pleins de photos pour raconter tout ça !

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Déjà, il y a Albert et ses copains les potimarrons (ou « marrons », selon Albert. Mais ça entraîne pas mal de confusions…). Le plant de 10 cm qu’on a repiqué au printemps s’est mué en une immensité végétale de plusieurs mètres carrés, et cinq potimarrons. Qu’Albert aime d’amour.

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 (ça fait un peu Wilson, là…)

Sinon, on a fait une lessive de doudous…

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Albert a eu un beau tracteur rouge…

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Basile a mangé ses premières compotes zé purées (avec Chloé, coucou Chloé !). Gros succès pour la pomme, la courgette, la carotte, rejet absolu de l’abricot et de la framboise. Épinards tolérés avec de la patate. Prochain essai : la betterave.

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Il y a eu un petit week-end du 15 août aux Mougères, très très sympa, temps magnifique, repos, jardin, Paulette, Gérard, que du bonheur.

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Et en repartant des Mougères, on est passé chez les Forray 🙂

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Et voilà pour ce beau week-end du 15 août ! Petit interlude culturel…

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Ensuite, un autre super week-end, chez Justine, à Dunkerque, plage de Malo-les Bains, dont on a bien profité, dans un sens, et dans l’autre ! Mention spéciale pour les couques en bord de mer, le vent, les flaques d’eau sur la plage, le sable dans la poussette 15 jours après, la soupe potimarron/mimolette (oui, on a sacrifié un copain d’Albert).

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Et puis, enfin, ce weekend où il a fait si chaud, on a aménagé une micro-piscine pour Albert dans le jardin, avec la baignoire de bébé !

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(Oui, sur la dernière photo, Basile pleure, mais c’était hyper mignon parce qu’Albert lui disait « Basile, pleure pas », et il essayait de lui lancer le ballon en appelant « Basiiiiiiile ») (petit cœur qui fond) (et donc j’ai lâché mon appareil pour aller m’occuper de Basile, quand-même…).

Eh ben, voilà un article où on en a pour son argent 😉 Bisouuuus ! Bonne rentrée !

Le tout premier printemps

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Premier printemps pour Albert… Et premier message depuis trop longtemps !

Et donc, quoi de neuf ? Eh bien neuf, justement ! Neuf mois depuis que le petit pois a pointé le bout de son nez… Albert a désormais officiellement passé plus de temps parmi nous que dans mon bidou, ça y est, c’est plus un bébé 😉

C’est un grand qui joue super bien assis sur son tapis, mais qui préfère être debout, merci. Il a soudain décidé que c’était un besoin impératif après avoir passé le weekend de Pâques aux Mougères avec ses cousins Kylian et Nolan, qui ont été adorables avec lui. Quelques images…

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Le bain avec les cousins, c’est trop bien !

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Promenade dans la charrette !

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Albert a inauguré SON arbre : un camélia blanc, au bord de la marre !

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Et les cloches sont passées pour Albert, lui apportant deux chouettes peluches !

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Cro-Magnon fasciné par le feu qui brûle dans la cheminée…

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Et hop, sur les épaules de Michel !

Un chouette weekend, en somme ! Il a marqué le début d’une longue période de pas drôle pour le petit doudou : pics de fièvres, vomis quotidiens… Après trois semaines, et deux consultations médicales, on nous a envoyé à l’hôpital faire des analyses… Dont on a toujours pas le résultat 15 jours après… Mais ça a guéri Albert d’un coup : depuis cette petite expérience, plus de fièvre ni de vomi. On croise les doigts !

Albert dans la super salle de jeu de l'hôpital.

Albert dans la super salle de jeu de l’hôpital.

Mais mais mais, en dehors des pics de fièvre et des soirées à thème « jeyser », Albert a tout de même bien profité du printemps ! Quelques photos bucoliques…

Un après-midi sous le cerisier

Un après-midi sous le cerisier…

... En compagnie de son super copain : Jujube le chien !

… En compagnie de son super copain (mais vraiment, il l’aime d’amour) : Jujube le chien !

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Lendemain de mariage : tout mignon avec sa cousine Anne !

On se défoule sur la terrasse...

On se défoule sur la terrasse…

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Et debout c’est encore mieux !!

La position débout, Albert, c’est son truc ! Bon par contre, se mettre debout tout seul (ou même assis tout seul), ce n’est manifestement pas au programme dans l’immédiat. Ramper, c’est limite : il rampe vers l’arrière, ce qui est super frustrant quand il veut attraper un truc…

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Exercice de rampage (rampation ?) vers l’avant : il faut vraiment un truc sacrément motivant à attraper…

Dans l’absolu, Albert trouve tout de même plus simple de couiner jusqu’à ce que qu’on vienne le redresser 🙂 C’est super pratique, tout de même, un adulte. Et en plus, ça joue à « Coucou » (succès assuré), à « Tagada sur mon bidet » (selon l’humeur), à « La petite bête qui monte » (sur la table à langer) et surtout, surtout, à « 1, 2, 3, bababoum » (ça, c’est avec Papa)…

Saluuuuuut !

Saluuuuuut !

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1, 2, 3, BADABOUM !

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Coucouuu !

Voilà pour les petites aventures d’Albert en avril 🙂 On ajoutera toutes ces petites choses du quotidien, les bains qui font splash, les longues conversations à base de ma-ma-ma-ma, puis da-da-da-da, et ta-ta-ta-ta, la tendance à vouloir tout attraper, partout, tout le temps (surtout les lunettes de Maman, les boucles d’oreilles de la nounou, le couteau à pain, les téléphones – d’ailleurs Albert a désormais son propre téléphone, un petit Alcatel très années 2000, qui a ainsi échappé à la déchetterie – les fourchettes, le pain, les tasses de thé – pleines -), la tendance subséquente à vouloir tout jeter ce qu’il a réussi à attraper, la troisième dent poussée dans la douleur, les pantalons taille 1 an (un an !!), et les cheveux si longs qu’on peut lui faire une crête de punk dans le bain.

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Je suis roux et je le vis bien 🙂

Bisouuus et da-da-da à tous !

Des quenottes et des aventures

20150313_074007petiteUn article par mois, je reconnais que ce n’est pas suffisant !! A partir de maintenant je vais essayer de mettre plus souvent des nouvelles 🙂

Mais mais mais, qu’est-il arrivé à Albert depuis février ? Eh bien, deux dents ! La première a poussé tout tranquillement, à peine une micro-fièvre deux jours avant, et un réveil en pleurs la nuit qui a précédé (rendormi 5 minutes après). Le lendemain, 14h, texto de Samia (la nounou) : « Alice, j’ai une bonne nouvelle » – la dent pointait. Une semaine plus tard, après deux vomi-jeysers, quelques nuits agitées et quelques pics de fièvre, la seconde dent a poussé dans la douleur. C’était weekend de Carnaval (entre la Somme et Dunkerque) et Albert garde de cet événement un souvenir… mitigé.

Qu'est-ce qu'on rigole.

Qu’est-ce qu’on rigole.

Il a d’ailleurs embrayé sur une bonne conjonctivite. Toutefois, les deux dents poussent bien et apparaissent presque sur les photos à présent !

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Oh les chicots !

Sinon, ce mois-ci, Albert a vu ses cousins Anne et François.

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On s’amuse bien avec Anne !

Albert a testé la nouvelle voiture de Papa et Maman (5 portes, wéééé) !

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Fouette cocher !

Albert a testé et approuvé une nouvelle position : assis !

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Assis le jour…

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Assis la nuit (enfin, le soir) !

Albert a également poursuivi son apprentissage du piano.

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Avec les pieds c’est tout de même beaucoup plus facile.

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Même si on essaie d’y mettre les mains…

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« Il jouait du piano debouuuut »

Oh, et qui dit retour des beaux jours dit aussi, retour des promenades !!

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Dans le jardin

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En bord de Marne

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« Quand on s’promèèèène au bord de l’eau »

Et enfin, Albert a assisté à quelques réunions de chantier ! Il est tout à fait satisfait de l’avancée des travaux et se réjouit de pouvoir emménager à Ivors prochainement.

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Parquet ou carrelage ?

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Il faudra me repeindre ces volets, les parents !

Voilà voilà les petites aventures d’Albert 🙂 A très bientôt sur nos ondes et en attendant n’oubliez pas : consommez 5 fruits et légumes par jour !

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mangerbouger.fr

Bisous !

Carnavaaal !

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Il y a quelques semaines, on a participé au Carnaval de Dunkerque, avec Justine, qui nous a hébergé chez elle à Malo, et des amis.

Ce fut… Une expérience. Le Carnaval de Dunkerque (Wikipédia, c’est à toi 🙂 remonte au début du XVIIème siècle. Les armateurs offraient aux marins-pêcheurs, avant de partir pour 6 mois de pêche en Islande, un repas et une fête, ainsi que la moitié de leur solde. Bon nombre d’entre eux ne revenaient pas donc bon, c’était la moindre des choses…

Quatre siècles plus tard, nous avons participé à la « Bande » de Dunkerque. Une « Bande », c’est un rassemblement de personnes déguisées défilant dans les rues d’une ville ou d’un quartier – il y en a dans toute la région, la période du carnaval durant deux mois, de fin décembre à fin mars !

Ce qui est génial avec ce carnaval, c’est qu’il ne faut pas grand-chose pour y participer : des vieux vêtements colorés fluos/fleuris, des perruques à 5 euros, des boas, du maquillage qui part à l’eau (même si on a eu quelques frayeurs avec le orange qui partait mal… Petit effet « j’ai piqué l’auto-bronzant de Maman » – mais le lendemain, plus rien !). Du coup, on s’est bien amusés. Comme dit Wikipédia, qui parle sage, le carnaval est l’occasion de se défouler et de laisser libre cours à son imagination. La coutume veut que les hommes se déguisent en femmes, en « ma tante » (jupes, bas-résilles, bijoux, faux-cils, maquillage, chapeaux à fleurs…). Autre déguisement aussi prisé que politiquement incorrect, le « zoulou »(pagne de paille, sous-pull noir, maquillage noir). Mais en vrai, tout le monde s’habille n’importe comment, pourvu qu’il y ait de la couleur et de la dérision !

IMG_0845 IMG_0856IMG_0940La Bande est composée du tambour-major (qui choisit la musique et détermine le parcours), de la clique (les musiciens) et des carnavaleux (tous les gens déguisés). C’était très impressionnant  : à la suite de la clique (qu’on voit de loin car elle est entourée de hautes ombrelles),  tout le monde chante – tout le monde connaît les chansons, sauf les touristes comme nous. Ça se bouscule un peu, en particulier pendant les « chahuts » où les musiciens jouent, mais rien de méchant.

IMG_0868 IMG_0890 IMG_0896IMG_0922Sans connaître les usages, on a repéré les coutumes rigolotes, comme le jeu entre les carnavaleux de la rue et ceux qui regardent le défilé à leur balcon : « Au balcon, les cocus » est scandé très régulièrement. Il y a aussi les groupes sympas qui jouent de la trompette depuis leur fenêtre, ce à quoi la rue répond « Olé ! ».IMG_0902Au milieu de l’après-midi, tout le monde se retrouve place de l’Hôtel de ville, d’où le Maire et le Conseil municipal balancent des coucous et 450 kg de harengs sur la foule. Graaaande tradition qui date non pas du XVIIème siècle (on aurait cru, hein ? Avec la pêche et tout…), mais de l’après-guerre : pour fêter la rénovation de l’hôtel de ville, détruit en 1945, la municipalité décida de de lancer des harengs car c’était la saison (j’aurais vraiment aimé être une petite souris à la réunion où ils ont décidé ça).

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On a pas mal attendu que la place se remplisse et que commence le lancer, sous les cris « Libéréz les harengs », scandés par à peu près tout le monde… Quand enfin sont jetés les premiers harengs, ça devient passablement dangereux : tout le monde veut son trophée et on a surtout, surtout pas envie qu’un hareng nous tombe dessus – non pas parce que c’est dégueu : ils sont fumés et emballés sous plastiques, mais parce qu’on risque de disparaître sous une marée humaine multicolore et emplumée !

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D’ailleurs, c’est le moment où nous avons tiré notre révérence car on avait école le lendemain, à 3 heures de là ! Ce qui fait qu’on a raté le moment le plus émouvant, le rigodon, place Jean Bart, où les carnavaleux chantent pendant une heure tous les airs de Carnaval en terminant par l’hommage à Jean Bart, le corsaire dunkerquois. Il y a tellement de monde qu’il paraît qu’on voit s’élever au-dessus de la foule un nuage de vapeur, qui donne à l’ensemble un côté irréel…!

Voili voilà pour le carnaval de Dunkerque ! On sait pas si on recommencera l’an prochain mais l’avantage, c’est qu’on aura toujours ces photos là…

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Irlande #4 : de Dingle à Galway

Suite de la narration de ce petit voyage en Irlande (parce que ça faisait longtemps et qu’on approche quand-même de la date anniversaire du-dit voyage donc bon).

Repartis de Dingle de bonne heure en un matin brumeux, nous nous dirigeâmes vers notre étape du soir, Ennis, au cœur du Comté de Clare, d’où nous repartîmes le lendemain pour gagner Galway ! Pour diverses raisons expliquées ci-après, c’est une partie du voyage où nous avons pris peu de photos et j’ai par conséquent fait du deux-en-un 😉

C'est parti !

C’est parti !

On a donc joyeusement parcouru la Péninsule de Dingle sous un ciel poivre-et-sel et un vent à écheveler les Adelines. Malgré ce climat peu enthousiasmant, la petite péninsule ne manqua pas de nous surprendra, alternant paysages hugoliens, (très) vieilles pierres et attaques de monstres autochtones.

50 shades of Grey

50 shades of Grey

Face à la mer...

Face à la mer…

Toujours depuis la Péninsule de Dingle...

Dos au Calvaire…

Des murets !

Des murets ! Pleins de murets ! Des maisons en ruines !

Quand soudain, sur le parking du Gallarus Oratory, levant la tête du Guide du Routard...

Quand soudain, sur le parking du Gallarus Oratory, levant la tête du Guide du Routard…

Oh Mon Dieu ! Il a repéré le paquet de Digestives !

Oh Mon Dieu ! Il a repéré le paquet de Digestives !

Trois Digestives émiettées plus tard, on a maté la bête.

Trois digestives émiettées plus tard, on a maté la bête.

Gallarus Oratory, une église qui pourrait remonter au VIème siècle !

Gallarus Oratory, une église qui pourrait remonter au VIème siècle !

La route dans les nuages

La route dans les nuages

Après avoir tout découvert de Dingle, nous avons rejoint le comté de Clare en traversant le Shannon à Kilruch, sur un petit ferry (la traversée prend 20 minutes !). Le soir même nous étions à Ennis où il a continué de pleuvoir sans discontinuer, ce qui a rendu la visite de la ville passablement morne. Je vous rassure tout de suite : on s’est rapidement réfugiés dans un pub où l’on nous a attribué une table devant la cheminée – et il y avait de la musique live.

Le lendemain, direction Galway !Et pour ce faire, il nous fallait traverser.. Le Burren. C’est un coin splendide et dépouillé, où la terre est grosso-modo remplacée par des cailloux.On raconte qu’à l’époque de la conquète de l’Irlande par Cromwell (1651), un officier décrivit ainsi cette riante région : « C’est un pays où il n’y a pas assez d’eau pour noyer un homme, pas assez d’arbres pour le pendre, pas assez de terre pour l’enterrer ».

La voiture, coquine, nous a joué un mauvais tour ce jour-là, en faisant régulièrement craquouiller la pédale d’embrayage, voire même, à une occasion flippante, en ne répondant pas du tout à l’utilisation de la pédale d’embrayage… Face à la menace de tomber en panne au milieu d’un désert de cailloux, on a filé vers Galway sans trop jouer aux touristes et, du coup, je n’ai pas vraiment de photo de cette partie du trajet (pas grave, on en a pleins des îles d’Aran, où se retrouve le même genre de paysage).

On a tout de même été admirer un site incontournable : les falaises de Moher, tout à l’ouest du Comté de Clare, à quelques encablures de Galway. Comme presque chaque fois que j’ai eu l’occasion de grimper sur ces falaises, il faisait un froid de canard et il y avait un vent à décorner les chevaux roumains (haha). Quelques images…

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200 m de haut sur 8 km, pfiouloulou

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La O’Brien Tower, construite en 1835… pour les touristes déjà nombreux !

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On est jolis et glacés !

A Galway, après s’être fait rassurés par un gentil garagiste qui ne nous a rien fait payer (!), on a juste pris le temps de se balader un peu dans la ville, et préparé notre périple du lendemain, aux Îles d’Aran !

Le samedi à Saint-Martin d’Auxigny…

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Image non contractuelle 😉

C’est le jour des mariages…!

Aller-retour éclair à Saint-Martin d’Auxigny (la ville la plus proche des Mougères), ce weekend, pour rencontrer le père Bodin qui nous mariera. Ce qui fait qu’on est désormais fixés sur les points les plus importants du D-day :

Reste plus qu’à s’occuper de… tout le reste (on a 7 mois, on est large) !

Après avoir vu le père Bodin, on a vadrouillé un peu dans les environs. Il nous avait proposé les églises de Saint-Martin et de Menetou-Salon. Sauf que Menetou, c’est un peu plus loin, l’église est jolie mais plus vieillotte (et il y a pas d’orgue), et surtout, à Menetou, le 31 août, il y a un wargame géant.

Avant de partir, on a été déjeuner à Sancerre, une jolie ville au milieu des vignes qu’on admire toujours de loin sur le chemin des Mougères. Repas délicieux dans un très chouette resto, mais on a pas du tout profité de la ville, déserte en ce samedi de janvier entre midi et 14h et surtout… plongée dans le brouillard. Ça nous a rappelé plusieurs destinations de rêves dont nous avons eu la chance de découvrir, au fil de nos voyages, les splendides paysages…

Quel point de vue, mas amis...

Quel point de vue, mas amis…

Bruges, en Belgique

Bruges, en Belgique.

Ostende, en Belgique

Ostende, en Belgique.

Québec, au Québec

Québec, au Québec.

Ô, Sancerre, on n’a pas de photos pour le prouver, mais tu t’as pas démérité, brumistiquement parlant.

Bon allez, j’ai été un peu injuste… Bruges dans le brouillard, c’est aussi ça :

Ooooh....

Ooooh….

Irlande #3 : de Kenmare à Dingle

Au programme de cette deuxième journée : le Ring of Kerry, très belle route qui fait le tour de la péninsule du Kerry et dont nous avions parcouru une partie la veille pour se rendre à Killarney. Cette fois, direction la mer afin de poursuivre toujours plus loin notre périple vers l’ouest sauvage.

The Ring of Kerry !

Il faisait un de ces petits temps très Irlandais, lorsque le soleil joue à cache-cache avec les nuages. C’est agaçant au premier abord (« il va pleuvoir ou pas? »), mais cela favorise une luminosité sans pareille… Les paysages époustouflants s’enchaînaient : c’est vraiment une très jolie route.

Le syndrome de la « route mouillée par la pluie reflétant le soleil » très apprécié des conducteurs.

Pause waouh

Pose waouh

Des murets, des moutons ! Bonjour, Irlande.

Pause sur plage déserte.

Derrière le plus bel homme du monde, en second plan, l’île pointue s’appelle Achill Island. Classée au Patrimoine mondial de l’Unesco, elle fut habitée des siècles durant par des moines.

Fleufleurs sur la plage

Et on reprend la route, ça monte énormément.

Arrivés tout à l’ouest de la péninsule, nous avons quitté le sentier battu pour visiter la petite île de Valentia (reliée à la péninsule par un pont). Rien à voir avec « Valence » : ce joli nom qui sonne tout de même un peu méridional n’est autre que l’anglicisation du nom gaélique du lieu : « Oilean-Bheil-Inse » (île de la ville du plan d’eau) (on reviendra plus tard sur le gaélique…). Fun fact, il semblerait que cette île soit le lieu habité le plus à l’ouest d’Europe.

Au loin, l’île de Valentia

Sur le port de l’île…

Sur le port de l’île, toujours, les ptits bateaux

Balade dans les genêts (?) : ça pique !

Nous avons ensuite bouclé le Ring of Kerry et poursuivi vers Dingle, ville centre de la Péninsule du même nom. La petite route qui y mène longe la mer à flan de colline : je n’étais pas rassurée. C’était la deuxième fois que je l’empruntais et tout comme la première, il pleuvait. Il y avait des moutons sur la route. Il y avait une *inondation* sur la route. Bref, nous sommes parvenus à Dingle sains et saufs pour retrouver notre b&b, un pub où dîner et où écouter de la musique live.

Dans les rues de Diiiigle… (Hihi)